chapitre 6:

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Je suis enfin arrivée, trop simple. Ils devraient vraiment mettre plus de sécurité dans cette prison, déjoué les gardes est bien trop simple. Je m’avance de plus en plus dans ce couloir, remplis de chien en cage. Les prisonniers me voient, ils crient de plus en plus et sifflent. Minable. Je suis devant la cage que je voulais tant.
Il est par terre, assis, comme s’il m’attendait.

-Tu es minable Hayden, tout comme tes hommes.

Il rigole.

-Pas tant que ça. Tu as fait exactement ce que je voulais, tu es venu et les gardes vont te voir. Ils vont comprendre que tu n’es pas la si gentille psychologue que tu fais croire.

-Vas-y, je t’en prie, appelles les, dis-je un peu fort pour lui faire comprendre que personne ne viendra.

Il fronce les sourcils, il semble surpris, il ne devrait pas si vraiment tout était calculé.

-Vois-tu mon cher Hayden, les gardiens de cette prison sont minables, il suffit juste un peu de poudre et pouf, ils endorment, c’est aussi facile.

Il se lève, s’approche de moi, sert les barreaux.

-Aussi ne demande pas d’information à tes deux gugusses car ils ne te diront rien.

-Qu’as-tu fais ?

-Moi ? Rien. Mes hommes par contre…

-Tu vas me le payer. Ici c’est moi qui fais la loi, je vais monter tout le monde contre toi.

J’éclate de rire.

-Tu n’y arriveras jamais. Et laisse-moi te montré pourquoi.

Je me retourne, super la lune est avec moi. Il y a une petite table au milieu. Les cages sont en u. Une table était installé pour les gardiens, pour leur pause, mais que les prisonniers soient tout de même surveiller.
Je monte sur la table, retrousse ma manche droite, puis lève mon bras pour que tout le monde vois la croix sur mon poignet. Je peux entendre de la surprise mais surtout de la peur.

Qu’est-ce que j’aime entendre ça.
Je descends, retourne vers Hayden, et lui chuchote :

-Fais très attention, des pétales de roses pourraient arriver dans ta cellule.

Je fais demi-tour, mais juste avant, dans la cellule à côté, je peux voir Jackson, on se fait un signe de tête.
Apres toute cette agitation, je rentre chez moi pour me reposer. Les gardiens ne vont pas tarder à se réveiller. Heureusement que j’ai toujours du « souffle du diable » sur moi.

Le lendemain, j’étais dans mon bureau pour étudier. Comme prévu, les gardiens ne se souviennent de rien du tout, et les prisonniers n’osent en aucun cas parler. Ils ont compris. Parfait.

Les prisonniers avaient eu tous annuler leur rendez-vous avez moi, bizarrement. Le patron était donc venu me dire que je pouvais prendre congé. Tant mieux. J’ai du travail à faire. Je pars de la prison, pour partir direction un entrepôt.

1h de route plus tard, j’arrive enfin. Je vais pouvoir m’amuser.

Je rentre l’odeur du sang me monte au nez, apparemment ils ont commencé sans moi. 10 hommes sont dans cet entrepôt, en cercle, les deux prisonniers au milieu, attaché sur deux chaises, cote à cote.

-Alors les gars on joue sans moi, dis-je en m’avançant.

Tous me laisse passer, il vaut mieux pour eux. Je peux voir que les deux hommes sont bien entaillés de partout. D’après ce que j’ai compris, ils ne veulent rien dire.

-Laisser moi seule avec eux !

J’attends que tout le monde parte, pour ouvrir la petite mallette que j’ai emmenée, j’étale des couteaux, des armes à feu. Heureusement j’ai laissé mes autres affaires de torture ici.

-Alors les deux, vous ne voulez pas parler il parait.

Le brun me crache dessus, très bien.
Je prends un couteau à boucherie bien aiguisé, et lui plante dans la cuisse.

Mais attention se serait trop simple comme ça, donc je lui tourne bien la lame dans la cuisse, pour qu’il souffre le plus possible. Et c’est bien le cas, car il crie de douleurs. Que se crie est plaisant.

-Parle sinon je continu.

-Hayden nous a envoyé pour te surveiller, il te trouve pas net.

-C’est tout ?

-Oui, crie-t-il de peur.

-J’en suis pas sûr, mais je vais jouer avec ton camarade, je veux m’amuser le plus longtemps possible avec vous. Vous êtes mes pantins.

Je m’approche vers le blond, prend un seau remplis d’eau et d’huile bouillante.

Tu vas m’aimer toi.

Je lui  verse délicatement sur le pied droit d’abord. Il crie.

-Parle.

-J’ai rien à dire.

Très bien, j’en mets sur sa cuisse, ce qui fait que ça coule tout le long de sa jambe. Il a vraiment mal, encore plus, cela s’entend a son crie.

-Ok ! Crie le brun.

-Vas-y.

- C’est le père de Hayden qui nous a dit de surveiller, il a mis plein d’homme sur le coup, car tu serais une menace, et je comprends pourquoi maintenant.

-Quoi d’autre ? Dis-je en souriant à sa dernière remarque.

-On a pas appris grand-chose sur toi, mais on ne trouve aucun passé, Hayden le sait. C’est pour ça qu’il a des doutes sur toi. Il pensait que les deux grands tueurs assassiné il y a 15 ans était tes parents et ça coïnciderai, mais rien, ils n’ont pas eu d’enfant et toi tes parents n’ont même pas un casier judiciaire. On a rien compris. Mais Hayden, à harceler son père pour qu’on te surveille et enquête sur toi.

Je vois, donc mon tatouage ne va aider en rien. Il faudra je me méfie de ce microbe.

-Très bien.

Je lâche le saut. Je les détache.

-Partez.

Les deux hommes partent aussi vite qu’ils peuvent dans la direction de la foret. Imbécile.

-Les gars !

Mes hommes arrivent tout content, je crois qu’ils ont devinés.

-La chasse à l’homme est ouverte. Tués les moi.

Un jeu dangereuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant