Vie brisée

L'attitude Dobone

Alors que Nzoghe se précipitait vers la maison  d'Obone, arrivé sur les lieux, il trouva sa cousine Obone et sa maman; assises dans la cuisine entrain de papoter.
Tout en sueur, essoufflé, il fit son entrée dans la cuisine.

Nzoghe : Nana Mengue, Obone ma sœur, Nzoghe est entrain de mourir...

Nana Mengue, et Obone, apeurée m, demandent à l'unisson : Qu'est ce qui ne va pas ?

Nzoghe (avec beaucoup de mal à s'exprimer) : Wege... Wege... Wegener

Dans la nuit d'hier à aujourd'hui, Nzime se rendant en brousse pour la chasse à apparemment tiré sur un éléphant, qui s'avère être Wegener.

Nana Mengue: Quoi, ne me dit pas ça... Donc c'est vrai qu'il se transforme souvent en éléphant ?

Nzoghe : oui, nana Mengue. Lui même est venu le dire ce matin très tôt à papa. Qu'en effet, il se transforme très souvent en éléphant, pour compter son bois dans la forêt. Et, comme Nzime à tire6sur lui, il va mourir, à condition quon lui donne Obone pour épouse...

Nana Mengue (voix tremblante) : Akieeeeeee. C'est quoi cette histoire mon Dieu...Ce blanc se prend pour qui ? Qu'avons-nous fait pour mériter cela, seigneur... Un bla'c venir poser un ultimatum dans notre contree, Akieee Egning, mon beau village, qu'es-tu devenu ?
Ah Nzoghe, il n'y aurait-il pas une autre solution pour sauver Nzime ?

Nzoghe : non, nana Mengue. Wegener à dit, c'est Me'gue ou rien... Si on ne lui donne pas Mengue, Nzime mourra dans 2 semaines...

Nana Mengue : on va trouver autre chose, Nzime ne peut pas mourir comme ça... Ma fille n'ira jamais en mariage chez cet homme...

Pendant cet échange entre nana Mengue et Nzoghe, Obone, dans son coin, pleurait déjà ma mort prochaine de son cousin Nzime. Puis soudainement, comme prise par on ne sait quel esprit, elle sorti de son silence et dit :

Sil faille que j'épouse Wegener pour que Nzime ait la vie sauvé, je le ferais...

Nana Mengue, surprise, de cette décision, décida de dissuader sa fille... Mais, c'est mal connaître Obone, car lorsqu'elle avait une idée en tête, plus personne 'e pouvait l'en empêcher...

Obone dira alors à Nzoghe, va à la maison, dit à Nzime, qu'il ne mourra pas, quant à moi, je vais de ce pas chez Wegener.
Après avoir repris une douche, Obone se vêtu de ses plus beaux vêtements et se mit en route pour le domicile de Wegener. Wegener nhabitatit pas très loin de chez elle, à environ une dizaine de minutes, juste à l'entrée du village, près des cimetières.
Lorsque Obone arrive ma devant la propreté de Wegener, on alla l'annoncer auprès de Wegener, qui semoredsa de venir aupres d'elle...

Wegener (avec un air sarquois) : bonjour ma futur femme, tu t'es finalement décidé à t'installer avec moi ?

Obone : Bonjour Wegener... Oui, finalement. Je n'ai pas eu d'autres choix... Tu sais, pour l'avoir, tu n'étais pas obligé de rendre malade mon cousin, tu aurais simplement pu continuer à me faire la cour, peut être qu'un jour j'aurais fini par accepter par amour... Mais, vu que tu as décidé d'utiliser ma force, il n'y a pas de problème.. Pour mon cousin, mon sang, et pour que ma famille 'e soit endeuillée, j'accepte d'être ta femme.
J'irais voir mon oncle Tare ebe, et des personnes viendront vers toi pour t'informer du jour et de la hure du mariage... J'espère que tu es prêt ?

Wegener : quel bonne nouvelle. Je suis le plus heureux du monde. Tu m'envoie ravir ma chère. Je suis prêts, même aujourd'hui, s'il le faut je t'épouse.

Obone : non, stp, l'aise moi le temps de rester encore un moment avec ma Mamaln et mes petits frères, et le temps de discuter avec mon oncle...

Wegener : je te donne 2 semaines, pas plus ni moins...
Obone : merci beaucoup.
Obone prit congé de Wegener, et en voulant francjir sa propriété, Wegener rappelle Obone et dit

Pour ton cousin Nzime, sache qu'à l'heure où je te parle, il va bien, le sort est levé. Mais attention, si dans 2 semaines, je ne tzpiuse pas, alors il mourra.

Obone lança un regard dépité à Wegener, et s'en alla.

Arrivée chez elle, elle trouva sa maman assise sur un tabouret, la main sur la joue, toute pensive. Les yeux enflée et tout rougis, et okeura't... Quand elle vit sa fille, elle sursota

Nana mengue : Que ta dit Wegener ? J'espère qu'il 'e ta pas fait de mal ? Je jure, si il touche à un de tes cheveux je vais lui montrer qui je suis...

Obone : maman, calme toi, je gère la situation... J'ai été le voir pour accepter d'être sa femme et qu'il laisse ainsi la vie sauve à Nzime. Il nous laisse 2 semaines pour qu'on puisse se marier sinon, Nzeile meurt. Il faut donc que tu m'aides maman, à aller convaincre tâte ebe de me laisser épouser Wegener.

Nana mengue : ma fille, es tu sûre ? Cet homme est dangereux, un homme qui se transforme n'est pas simple. Jao pzir qu'ils puisse tensorceller.

Obone : maman n'aie pas peur. De là où est papa, il veille sur nous...

Nana mengue : c'est vrai mais j'ai peur quand même. Tu es ma seule fille, s'il t'arrivait quelque chose je m'en voudrais à vie. Stp ne fais pas ça.

Obone : maman, ma décision est prise. Stp, comprends moi, et voix aussi le bon côté des choses. Je vais me marier avec Wegener, et donrenancant vous ne manquerez de rien... Il ne pourra rien me faire, car ke sais qu'il m'aime. Maman stp, aide moi juste à Eller chez Tare ebe pour convaincre eto.

Mengue. : j'accepte mais avec deux coeurs ma fille. On ira demain. Pour l'heure, je vais derrière la maison, cuissiller quelsues herbes, afin que tu les marches, et que lorsqu'on soit demain, devant Tare ebe, il accepte sans rechigner tout nos dorés...

Obone : merci maman, j'avais pas y penser. Vivement que ces feuilles marchent et que Tare ebe accepte.

Le lendemain, matin trs tôt, après quelques travaux ménagères, Obone et nana mengue se lette't en route pur le domicile de Tare ebe...

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