Chapitre 3

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Mickael se rémmomérait tout ces souvenirs... depuis que son pays avait perdu la guerre. Il s'était passé tant de chose : il avait monté une résistance et était même devenu une figure de celle-ci. Il n'avait cessé de se battre dans l'ombre pour la liberté de son pays, il n'avait jamais perdu espoir... Pourtant aujourd'hui, après des années de luttes contre les  occupants, il se sentait las, las de tout ses sacrifices vains. S'asseyant sur sa chaise, il poussa un soupir et prit la ferme décision de ne pas se laisser décourager.

Il n'eut pas le temps de continuer à réfléchir puisque  déjà quelqu'un toquait à la porte de sa cabane. 

Poussant un grognement d'énervement, il se leva et ouvrit la porte. Trois de ses soldats l'attentandaient au garde-à-vous  encadrant deux inconnus : une femme et un enfant probablement son fils. 

Cette dernière prit la parole la première :

"Enchanté Commandant, commença-t-elle pour rompre le silence qui s'était installé.

Mickael prit quelques secondes pour analyser les deux inconnus qui se trouvaient face à lui. La jeune femme approchant visiblement la trentaine semblait sur d'elle et arborrait un grand sourire. Quant à l'enfant, physiquement, il ressemblait à celle qui était probablement sa mère mais semblait plus timide, moins sur de lui ; rien de plus normal pour un adolescent de 13 ans comme lui.

Se tournant vers ses soldats il demanda :

" Qui a-t'il donc ?

- La jeune femme souhaite vous rencontrer. Elle a apparemment quelque chose d'important à vous dire, répondit un des militaires.

Celle-ci reprit la parole en déclarant :

"J'ai besoin de m'entretenir avec vous ! "

Ce-à-quoi le commandant répondit : 

"Dites ce que vous avez à dire tout de suite, je suis très occupé au cas où vous n'auriez pas compris.

- Il me faut être seul à seul avec vous... ajouta la jeune femme.

- Et bien c'est impossible ! s'exclama Mickael puis il se retourna et ferma la porte au nez de ses surbordonnés. 

Le jeune commadant se rassit à son bureau et entreprit d'examiner les cartes étalées sur le bureau. Mais de nouveau, on toqua à la porte. Grommelant un son inaudible il se leva de nouveau et re-ouvrit la porte pret à sermmoner ses soldats.

Mais quelle ne fut pas sa surprise lorsqu'il se retrouva nez-à-nez avec la jeune femme qu'il avait refusé d'écouter précedemment. Autour d'elle, se trouvait les 4 quatres soldats au sol, inconscient. 




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