Après l'effondrement de leur lycée, trois étudiants de la classe ouvrière sont admis à Las Encinas, un prestigieux lycée huppé qui accueille les jeunes de l'élite. Mais des différences de classes et la confrontation des étudiants aboutissent à un ho...
Christian était collé derrière l'arbre est moi à côté de lui, ont étaient tout les deux en train de rigoler pour rien.
Esther: Ça fais grave longtemps que je me suis pas aussi amusé comme ça avec quelqu'un. Et, je te dis t'es pas quelqu'un de naze comme tout le monde le dit.
Christian: Wow, félicitations t'es vraiment la première personnes qui me dis ça.
Ont se regardaient dans les yeux pendant plusieurs secondes, ça faisait la première fois que je ressentais des sentiments pareil pour un gars, j'avais des papillons dans le ventre quand je posais mes lèvres sur les siennes.
Il enlevait son teeshirt est il se posait contre moi par terre sur l'herbe. Il enlevait J'avais des papillons dans mes yeux, j'étais comme une gamine qui venait juste d'apprendre que ce garçon là, c'était l'homme qu'elle lui fallait.
Flashback, il y a une semaine. Aux lycée.
Christian et Guzman.
Guzman: Tu veux être avec nous, oui ou non?
J'étais mal pour elle, elle était dans les couloirs en train de prendre ses affaires toute souriante devant les autres, mais je sais qu'au fond elle va très mal, pourquoi j'ai accepté déjà? Ah oui, c'est vrai c'est pour être avec des pauvres con comme eux, qui m'aideront pour mon avenir. Mais j'acceptais quand même.
Christian: Oui.
Guzman: Très bien alors tu n'a qu'à faire ce qu'ont te dit alors.
Christian: D'accord est vous voulez que je fasse quoi?
Guzman: La faire tomber amoureuse pour la détruire après.
J'étais sous le choc, mais si je devais être avec eux je devais le faire, accepter ce défi.
Guzman: Je sais que tu la trouve déjà belle, et gentille mais si tu veux que tu sois avec nous faut que tu l'accepte.
Je serrais mes poings, mais je dévalais ma colère.
Christian: Ok. **
Quand j'étais posé sur lui, j'étais tellement bien dans ses bras, que je ne voulais même pas partir.
Christian: Ça va mieux alors?
Je lui souriais.
Esther: Beaucoup mieux.
Christian: Tant mieux alors.
Je me levais mais Christian me retournait encore une fois, il posait ses mains sur mes cuisses nus.
Esther: Qu'est-ce que tu fais, je dois y aller.
Christian: C'est bon, je voulais juste un dernier baiser.
Je rigolais nerveusement.
Esther: D'accord.
Je me reposais sur lui, est je l'embrassais pendant que lui il prolongeait tendrement. J'entendais les oiseaux qui sifflait devant le lac, c'était une magnifique journée, il me laissait me rhabiller est lui aussi.
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