Chapitre 17

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  A partir de ce moment là, je ne savais que faire, devais-je expliqué ce que je venais de voir a Adam ou devais-je gardé le secret ?

  Je demanda conseille a Angelo, il me conseilla d'attendre, peut-être que la merde d'Adam avait pris ses affaires afin de les rejoindre lui et son père pour leur apporter son aide et son soutient.

  Je pris la décision de juste dire a Adam que ça mère n'était pas là mais qu'il ne devait pas s'inquiéter, quelle lui donnerai surement de ses nouvelles dés quelle aurait vue ses appelles.

  Je lui demanda tous de même :

    - Mais que devais-tu lui dire ? Tu ne m'a toujours rien dit.

    - Une chose épouvantable nous est arrivés ce matin. Mon grand père nous a laissé vers 11 heures en prétextant qu'il voulait se rendre au cimetière seul, pour se recueillir sur la tombe de ma grand-mère, jusque là nous ne nous sommes pas inquiétés, on a même trouvés ça plutôt normal qu'il veuille se retrouvé seul dans les circonstance qu'il était en train de vivre mais voilà, vers 13 heures il n'était toujours pas rentré, on a commencés a s'inquiéter, on l'a appelé mais nous n'avons eu aucune réponse, alors on a décidés de ce rendre au cimetière pour voir si il n'avait pas fait un malaise mais a notre arrivé, mon grand-père était allongé a côtés de la tombe de ma grand-mère. Il était sans vie, il a mis fin a ses jours, ne supportant plus l'absence de son amour.

  A la lecture de ce message, mon corps se paralysa, j'étais là, immobile, le corps en coton. Comment le sort pouvait a ce point s'acharner sur une seule famille en si peu de temps.

  Adam m'envoya de nouveau un message :

    - Il nous a laissé une lettre nous expliquant son geste et les raisons pour les quelles il l'avait fait. Mon cœur est en miette, mon monde s'écroule petit a petit, j'écris ce message les yeux remplis de larme, vous me manquez tellement mes amours, j'ai tellement hâte de rentrée, d'être a vos côtés et de ne plus vous quittés. On fait de notre mieux pour rentrés au plus vite. On reste ici le temps de ses obsèques et de s'occupé de quelques papier administratifs et je rentre.

  Mes mains tremblaient, mon regard était vide et mon esprit totalement chamboulé. Cette fois-ci c'était sûr, je ne pouvais rien dire a Adam, je ne pouvais pas me permettre de lui rajouté de l'inquiétude avec l'épreuve qu'il était en train de traversé. 

  Je laissa Angelo retourné a son poste et je repris la route pour rentré chez moi.

  J'arriva chez moi, mine déconfite.

  Lilie comprit aussitôt que quelque chose c'était passé.

  Elle venue m'accueillir sur le pas de la porte et me tenu le bras pour que j'aille m'asseoir, je tenais a peine debout, mes jambes flageolaient, je failli faire un malaise.

    - Que ce passe t-il ?

  Aucun mot de sorti de ma bouche, mon esprit était comme inerte.

  Lilie me proposa de me servir un café, j'hocha la tête pour lui dire oui.

  Il me fallait le temps de reprendre mes esprits, petit à petit mon cœur se brisa encore un peu plus, les larmes se mirent a coulés sur mes joues puis des sanglots, puis des cries, des cries de douleurs et de haine. Comment une mère avait pu partir sachant que son fils avait besoin d'elle. J'étais a la fois triste parce que j'adorais les grands-parents d'Adam, c'étaient des personnes merveilleuse et a la fois en colère, folle de rage, d'avoir découvert que la mère d'Adam avait pris la fuite comme ça, sans lui donné d'explication en le laissant mort d'inquiétude. 

Lilie me prit dans ses bras en me disant : 

- Oh ma belle, mais qu'est-ce qui t'arrive. Te mets pas dans des états pareille, pense au bébé que tu porte et a ton fils aussi. Il ne faut surtout pas qu'il te voit dans cette état là, le pauvre, il est déjà loin de son papa, il a besoin de sa maman au meilleur de sa forme.

Je me leva, me dirigea vers notre jardin, je sortie prendre l'air et je marcha durent de nombreuses minutes.

Je m'installa sur les marches de la terrasse afin de boire mon café, Lilie venue me rejoindre et me demanda :

- Alors et si tu me disait ce qui te mettait dans un état pareille ?

Je lui raconta toute l'histoire.

Elle me serra dans ses bras, nos querelles étaient visiblement déjà loin derrière nous, même si mes sentiments restaient amer en vers les paroles quelle avait pu avoir sur la relation entre moi et Greg mais je devais bien avouer que sans elle, je pense que l'épreuve aurait été encore plus difficile a surmonté.

Greg arriva, il avait a présent la clé de chez nous, c'était plus facile.

Il m'appela et quand il me trouva sur la terrasse avec Lilie, son visage se décomposa.

Il commença a faire demi-tour mais Lilie le rattrapa par le bras.

- Attends Greg, je tenais a te présenté mes excuses, a toi mais aussi a Nora. Je suis tellement désolé de ce que j'ai pue dire a votre propos, ça fait tellement d'année qu'on est amis, on peu pas brisé notre amitié pour des conneries puis Jules m'en veut que tu ne vienne plus le voir maintenant. Alors si tu veux bien, j'aimerai que tu acceptes mes excuses.

Il hocha la tête et se précipita pour venir me rejoindre, il me serra si fort dans ses bras et m'embrassa le front. Il me chuchota a l'oreille :

- Angelo m'a appelé, il m'a tous raconté, j'ai quitté mon boulot en vitesse, je suis là maintenant, je resterai avec toi le temps qu'il faudra et si mon patron est pas d'accord, je m'en fou !

Je me mis a nouveau a pleurer, en le serrant le plus fort possible dans mes bras. 

Lilie prit la parole :

- Maintenant que Greg est là, je vais vous laissé, tu fera un bisous au petit de ma part. Je vous souhaites bon courage et si vous avez besoin n'hésité pas, je suis dispo.

- Attends Lilie !

Je me dégagea doucement des bras de Greg et j'alla cherché mon porte feuille pour donner un billet a Lilie pour la remercie de s'être déplacer si vite.

Mes mains tremblaient encore tellement que je fis tombé mon porte feuille, une carte en tomba, je donna un billet un Lilie et je ramassa cette carte que j'avais fait tombé par terre.

Ça y est je me rappelais enfin ou j'avais eu cette carte, c'était celle du gars que j'avais rencontré quelques mois plutôt en boite, quand je m'étais séparé d'Adam.

A ce moment là une idée me venue. En effet, sur cette carte était écris " Eric Corde , détective privé ", c'était la personne idéal pour m'aider a démêlé toute cette histoire, je me dépêcha de la caché dans ma poche. 

Aime moi, aussi fort que tu pourras ( Partie 2)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant