Quelques jours plus tard, cette femme qui ce disait être la maîtresse d'Adam venue de nouveau toqué a la porte
- Tu peux repartir, Adam n'est pas là !
- Ah bon ?
- Il est parti ! Tu n'es pas au courant peut-être ? Il ne t'a pas prévenue?
J'ajouta d'un air moqueur :
- A moins que votre histoire soit déjà fini ?
Elle me répondit :
- Euh, si, si je suis au courant, il m'a demandé de venir lui chercher des affaires.
- Non mais quoi encore ? Si il veut des affaires, il est assez grand pour venir les chercher lui même ! Là, tu vois ta de la chance j'ai mon fils dans les bras mais je peux toujours le mettre dans son parc pour avoir les bras libre histoire de te mettre une bonne correction alors si tu veux pas que ça arrive, un conseil, dégage avant que j'ai le temps de me retournée et ne reviens plus sinon je vais te faire amèrement regretter d'avoir brisé ma famille.
Elle prit la fuite sans même dire un mot, pauvre fille, elle était tellement pathétique.
Dans un excès de colère, j'appela Adam.
- Allô ! Tu m'appelle enfin..
- Tu n'as pas honte ?
- Qu'est-ce que j'ai encore fait cette fois-ci ?
- Tu ose me poser la question ? Envoyez ta meuf chez moi pour venir chercher tes affaires, tu ne recule vraiment devant rien !
- Qu'est-ce que s'est encore de cette histoire ? Je vois personne, je te le jure. Arrête de dire n'importe quoi ! Demande a Greg si tu veux, il te le confirmera.
- Ne mêle pas Greg a nos histoire puis de plus il n'est pas H24 derrière toi !
- Mais j'habite chez lui !
- Et alors ? Il travaille, il n'est pas toujours là !
- Bon tu es vraiment têtu alors on va arrêter de ce disputer et je vais passé voir mon fils, si t'es d'accord bien-sûr.
- Je ne t'interdirai jamais de voir ton fils, tu es peut-être un salaud mais tu resteras toujours ton père, un bon père !
- Je vais faire comme-ci j'avais pas entendu que tu m'avait insulté. J'arrive.
Il raccrocha.
Une demi-heure plus tard, il sonna à la porte, les bras chargeaient de cadeaux, qui n'était pas que pour Adriano.
Il tenait a la main un magnifique bouquet de rose rouges et blanches.
Il me les tendit :
- Tiens, c'est pour toi.
- Merci, tu crois que c'est comme ça que tu vas te faire pardonné ?
- Je n'ai rien a me faire pardonné, j'offre juste un bouquet a ma femme. C'est pas interdit a ce que je sache, on est toujours marié.
- Pour l'instant !
- De quoi pour l'instant ? Tu ne compte pas aller jusqu'au divorce quand même ?
A cette instant Adriano ce mit a pleurer, Adam me demanda :
- Je peux y aller ?
- Oui descends le par la même occasion. L'heure du biberons approche, il doit avoir faim.
- Prépare lui en attendant que j'aille le chercher.
- C'est mon fils, je suis sa mère, je n'ai pas besoin de toi pour me dire quoi faire.
- Du calme.
Il monta chercher Adriano et redescendit aussitôt et me demanda :
- Je peux lui donner son biberon ?
- Mais oui ! Pourquoi tu ne pourrait pas ! Tant que tu es là, tu peux garder ton fils je vais en profité pour aller faire quelques courses, je n'ai presque plus de couches pour Adriano.
- Regarde dans ma veste et prends de l'argent dans mon porte monnaie.
- Pourquoi faire ?
- C'est mon fils, je me dois de participé, prends ce dont tu as besoin !
Je me rendis donc au magasins et a mon retour, je demanda a Adam de baigner le petit pendant que je préparer le repas.
Pendant qu'il baignait Adriano, j'entendis Adam rire au éclats, il avait l'air tellement heureux d'avoir retrouvé son fils.
Quand il eu fini de l'habillé, il cria :
- Adriano est en pyjama, est-ce que je le recouche maintenant ?
Je lui répondis :
- Non, descends avec lui, tu le mettra dans son transat avec ses petits jouets pendant qu'on mangera.
- On ? Tu veux dire nous deux ?
Il descendit au même moment.
- Oui tous les deux, il faut qu'on parle et puis en plus tu m'as dit toute à l'heure que tu devais participé a la vie de notre fils ? Alors c'est toi qui l'endormira ce soir !
Il posa délicatement Adriano dans son transat et me répondit en s'adressant a lui.
- Ce sera un plaisir de t'endormir mon bonhomme.
- Dans ce cas, tu dormira ici. Tu prendra le relais cette nuit, je pourrai sûrement dormir un peu comme ça.
Le repas ce passa dans le silence.
Quand nous avions fini de manger, Adam alla coucher le petit pendant que moi je faisais la vaisselle.
Dés qu'Adriano fût endormi, Adam venu s'installer dans le canapé et me demanda :
- De quoi voulais-tu qu'on parle ?
- De notre séparation .
- Séparation ? C'est un bien grand mot, ce n'est qu'une passade.
- Tu m'as trompé et tu appelle ça une passade ?
- Je vais devoir te le dire combien de fois et en quelle langue surtout ?
- Calme toi ! Tu va réveiller le petit !
- Je veux juste que tu m'écoute et que tu comprenne surtout.
- Mais dans ce cas qui est cette fille alors ?
- Je ne le sais même pas.. mais ce que je sais par compte, c'est que je ne t'ai pas trompé et j'aimerai que tu me crois.
- Passe moi ton téléphone.
- Pourquoi faire ?
- Passe moi le c'est tout.
Il me le tendit.
- Tiens, je n'ai rien a te cacher.
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Aime moi, aussi fort que tu pourras ( Partie 2)
Roman d'amourSuite de mon histoire " Aime moi, aussi fort que tu pourras" que vous pouvez retrouvé sur mon profil.