Indésirable | MCND

Chapitre 8

J'étais présentement au toilettes. Enfin j'étais posé contre le mur, mon sac à mes pied, attendant que mes aînés arrive. J'avais eu toute la matinée pour réfléchir et j'étais venu à conclure que j'improviserai sur le moment pour savoir ce que je leur dirai. Et actuellement, là, je regrettais. J'aurai du préparer quelque chose.

Maintenant que j'y pensais plus intelligemment, j'aurai jamais du leur proposer ça. Idiot comme je suis et comment ils sont, je vais finir à me faire taper.

A cette pensée, mon cœur s'accélèra, merde. Je me décolla du mur, me baissa, attrapa mon sac, fis quelques pas vers la sortie, quand soudain mon regards en rencontra trois autres.

- Essayerais tu de t'enfuir ? Me demanda Changbin. Je lui fis un non de la tête. Tu voulais nous dire quoi ? Continua t'il.

- J-je veux bien passé l'éponge pour ce qu'il c'est passé lundi parce que vous êtes amis avec Seugjun mais- Je me fis coupé par le petit noireau.

- Passé l'éponge ? Tu te fou de notre geule ?! Il ricana C'EST MOI QUI DEVRAIS TE DIRE CE GENRE DE CHOSE, dois-je te rappeler que tu ma poussé, marcher et tâcher mes chaussures. ?! S'énerva t'il.

Je baissa les yeux. C'est vrai que j'avais fais ça mais il m'avait taper ! Chan regardait la scène amusé. La voix glaciale de Jisung annonça :

- T'aurai peut être besoin de petite correction pour te remettre les idées en place ? Il affichait un sourire mesquin.

- C'est vrai ça, en plus je me suis fais défoncé par mon père à cause de toi. J'ai besoins de me détentes un peu, pouffa Changbin.

Fuck! J'aurai pas du. J'aurai pas du leur proposer ça. C'était pas une bonne idée. J'aurai pas du rester la. J'aurai du m'enfuir plus tôt.

- Frapper pas la tête, et je garde la porte, déclara Chan.

Les deux autres acquiescèrent et s'approchèrent de moi. Instinctivement mon corps recula. Ils riaient. J'avais peur. Je lâcha mon sac. Ils étaient terrifiants.

Pourquoi ? Pourquoi suis Je si con ? Avant même qu'ils aient fait quoi que se soit, je me mis à crier. A hurler. Demandant de l'aide. Je me pris une baffe en pleine joue.

- Mais c'est qu'il va la fermer ?! Dit le noiraud qui venait de me baffer.

Et puis les coups d'abattirent sur moi. Un premier coup de le ventre, me faisant plier en deux. Puis un deuxième me projetant par terres. Ils continuèrent, toujours riant, en me donnant de coup de pied dans le ventre, le dos, les jambes. Je m'étais finis mis en position fétale. Les coup fusaient.

- Les gars, ya un mec qui arrive, Prévient Chan.

Ils se regardèrent, et dans un accord commun et ils prirent la fuite.

J'étais toujours par terre larmoyant. Je n'avais plus la force de me lever. Mes membres tremblaient. Mon jean s'était déchirer sur le genoux droits. Celui-ci saignait. Honteux, je me traîna par terre jusque dans une cabine et ferma la porte.

J'entendis quelqu'un rentrer, une porte se fermer et cette personne commença à faire sa petite affaire. Il tira la chausse d'eau et parti se laver les mains. Je bougea un peu mes jambes contre mon torse, mais cela m'arracha un petit cris vite étouffé par ma main.

- Il y à quelqu'un ? Demanda une voix familière.

Je retiens mon souffle. Je tentais de faire le moins de bruit possible. J'attendais. La personne partie finalement. Je me détendis dans un souffle. Je connaissais cette voix. Mais d'où ? Je ne sais absolument pas.