La triste histoire de Lily Gothel

8.

Madame le marquise Gothel était sur son canapé. Une servante s'occupait de l'éventer. Elle avait tellement hâte du grand bal qu'elle était tombé Dans les escaliers et elle s'était surement tordu la cheville. Elle attendait ses filles avec impatience parce que la couturière avait une idée de confection de robe qui pourrait propulser ses fille en haut de la scène. Tout le monde ne verrait qu'elles.

-Ah mais plus d'air je vous en supplie...faits votre travail nom d'un chien.

-Oui madame...je...je fais ce que je peux madame...

Cette pauvre servante n'avait pas l'ombre d'une intelligence convenable. La marquise devrait la renvoyer mais la dernière fois qu'elle en avait parler à son mari, il avait refuser. Qu'est-ce qu'il était bête lui aussi...Elle aurait du écouter sa mère et choisir le baron De La Grande Cour. Mais marquis est plus important que baron. 

Son maris était petit, gros et il avait une petite moustache qui le décrédibilisait devant ses adversaires. Surtout que sa voix ne l'arrangeait pas. Une petite voie pleine de timidités qui ne pouvait pas s'imposer. Mais il avait néanmoins fait fortune. Ne lui demander pas comment elle n'en savait rien. Elle avait horreurs des affaires. Cela lui donnait une affreuse migraine à chaque fois qu'elle osait mettre son nez dans les affaires de son maris.

-Votre fille a refait des pâtisseries madame. Elles sont vraiment excellentes. Vous en avez manger ?

-S'il vous plait, Geneviève. Votre mère vous a-t-elle apprit à ne rien dire ? Cessez donc de me  raconter les horreurs que ma fille concocte malgré elle et éventer plus vite.

La porte s'ouvrit assez brusquement ce qui fit sursauter madame la marquise. Emy entra dans la maison, ses boucles blondes en batailles. Elle semblait énervé ce qui n'était pas dans sa nature. Enfin. Une femme doit imposer son avis et pour cela elle doit s'énerver. Juste après elle sortis Lily. La marquise poussa une exclamation et regarda Lily plusieurs seconde avant de se mettre la  main devant sa bouche. Sa fille avait changé. Elle était devenue belle. Si belle. Bien plus belle que n'importe jeunes filles qu'elle n'avait jamais vue. Ses cheveux noirs avaient l'air bien plus long dans son chignon et elle se demanda si il lui arrivait bien toujours aux épaule. Ses yeux bleus clairs était cent fois plus brillant et ses lèvres rouges sang était magnifiquement provocantes. 

Quand à Emy, elle semblait moins belle et elle avait perdu de son teint qui la rendait magnifique. Elle était énervé et sa mère devina facilement que c'était à la subite beauté de Lily. Elle avait élevé sa fille aîné ainsi. Dans la jalousie et la compétition. Mais elle ne s'était jamais vraiment occuper de Lily. 

-Bonjour mère. cria Emy. Vous avez bien dormi ? 

-Mais je crains de ne pas avoir dormi ma chère petite Emy...

-Bonjour mère...

 Cette fois c'était Lily qui parlait et même sa voix avait changer. Elle était plus charismatique, plus attirante.

-Bonjour Lily, votre tour au marché s'est t il bien passé ?

-Oh vous ne devinerai jamais. Lily m'a obligé à aller courir après une femme pour lui demander sa robe. Ah si vous l'aviez vue. Elle était ROUGE de colère. Et moi dans ma gentillesse sans limite j'ai accepter d'aller lui chercher vous savez. Oh comme la dame était furieuse...

-Mais non Emy...tu y ai allé toute seule et je t'avait dis que je ne tenais pas vraiment à cette robe...

-Comme vous le voyez elle essaie une fois de plus de rejeté la faute sur quelqu'un d'autre. Ma chère sœur n'a pas de limite.

La marquise ne comprenait rien a la situation. Elle n'aimait pas voir Emy dans cette sorte de colère mais elle avait remarqué que Lily avait elle aussi l'air de contenir quelque chose de plus grand qu'elle. Elle semblait bouillonner mais Lily n'était jamais la première inquiétude de sa mère et celle-ci vit que Emy semblait un peu se détendre et elle allait se rasseoir quand elle entendis la nouvelle voix de Lily clamer:

-Je ne crois pas non. Ah vrai dire mère je pense qu'il serai temps de rétablir la vérité. Ce qu'il s'est passé c'est qu' Emy était tellement à parler avec un jeune homme en essayant de me repousser de la discussion pour n'être qu'avec lui. Et j'ai bien été contrainte de faire semblant de faire mes achats parce qu'il n'est pas convenable pour une jeune fille d'attendre seule. Et une grande partie de la ville je vous l'avoue ma chère mère raconte que ma sœur et ce jeune homme sont amants.