Kirua x Reader [BxB]

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Je me réveillai le lendemain à cause des rayons de soleil qui transperçaient les fenêtres pour venir s'écrasaient sur ma tronche.

Je gémis, essayai d'ouvrir les yeux et m'étirai.

Kirua : Bien dormi ?

Je tournai la tête et vis Kirua, la tête affalée sur l'oreiller, un fin sourire aux lèvres et les yeux à demi-ouverts. Il essayait lui aussi d'émerger du sommeil.

(T/n) : J'crois que j'ai jamais aussi bien dormi. Et toi ?

Kirua : Pareil.

(T/n) : Allez ! Faut se lever. Gon a un combat cet après-midi.

Je commençai à me relever mais Kirua m'attrapa le bras et me fit me recoucher.

Kirua : Non. Pas envie.

(T/n) : Mais moi j'ai envie.

J'essayai de nouveau de me relever, mais Kirua réitéra son action. Je recommençai mais, encore une fois, il m'arrêta.

(T/n) : Arrête ça ou sinon ...

Kirua : Ou sinon ?

(T/n) : Attaque de chatouilles !

Sans qu'il ne s'y attende je l'assaillis de chatouilles. Il se tordait dans tous les sens dans l'espoir d'échapper à mes attaques.

Kirua : A-Arrête ... Hahaha !

Il ne pouvait plus s'arrêter de rigoler. Des larmes de rire coulaient de ses yeux.

Kirua : P-Peux p-plus ... Ha ! ... Respirer ! Hahaha !

Je le laissai tranquille et sautai hors du gigantesque lit.

(T/n) : Allez ! On va se préparer !

Kirua, une fois calmé, grommela et ramena la couverture sur lui, bien décidé à rester au lit.

*

L'après-midi, Sadaso, qui devait aussi se battre contre Gon, ne s'était pas montré aujourd'hui non plus. Gon avait donc lui aussi gagné par forfait. Je n'avais aucune idée de ce que Kirua avait pu dire ou faire à Sadaso, mais il fallait avouer que c'était sacrément efficace.

Les jours suivants, Gon et Kirua continuèrent de s'entraîner avec Wing. Quant à moi, je continuais à m'ennuyer.

J'étais en ce moment même dans le grand couloir principal - là où on pouvait voir les combats en direct à travers les écrans accrochés un peu partout. Il était midi, alors il n'y avait pas grand monde.

Je mangeais des cacahuètes en regardant le match en cours. J'aurais bien pris du chocolat à la place, mais cet idiot de papy avait mangé tout mon stock.

? : Ce combat est d'un ennui.

Je sursautai et m'éloignai rapidement du banc où j'étais assis pour me mettre en garde, la voix sortie de nulle part m'ayant pris de court. 

C'était Hisoka. Il était tranquillement posé sur le même banc que moi il y a quelques secondes, le sourire aux lèvres. Ses jambes étaient croisées et ses yeux rusés me regardaient avec amusement.

(T/n) : Qu'est-ce que tu veux, vieux pervers ?

Hisoka : Vieux ? Tu y vas un peu fort.