Depuis que nos regard se sont croisés
Je ne peux me détacher
De ces prunelles profondes
Me noyant dans ce tourbillon d'émotions.Je n'arrive à déchiffrer
Ces humeurs passantes
Qui me font me sentir si vivante
Alors que tu m'as à peine frôlée.Emportant au passage, par mégarde,
Mon cœur.
Le capturant de ton regard si envoûtant,
Qui me fit succomber sur le champ.Je ne tourne plus qu'autour de toi,
Sans autre Soleil que tes traits
Me berçant avec légèreté
À défaut de tes bras absents.Mais je ne peux me résoudre
À rêver sans but
Sans pouvoir savourer de ma main
Le grain de ta peau au matin.De peur de perdre cette passion
Sans fin et sans raison
Qui me dévore
Un peu plus chaque jour dès l'aurore.04/04/2020
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Méandres de pensées entortillées
PoetryDes mots avant tout, Des pensées ensuite, Le tout en un petit emberlificotage bien ficelé ! commencé le 5/12/18