PDV Rimeh:
Se réveillant en sursaut suite à quelqu'un qui me criait dessus, je ne savais pas ce qui se passait avant d'entendre la voix de Youssef
Youssef : ça fait 10 minutes que je te réveil ! Je suis fatigué, épuisé, j'allais mourir et tout ce que tu faisais s'était de dormir en souriant, ça se voit que ma vie compte bien pour toi!
Le regardant bizarrement, je constatait qu'il n'avait pas de pansement...il était tout blessé et portait encore tout ses vêtements...alors tout ce qu'on partageait tout à l'heure était dans mes pensées... seulement un rêve...qui restera toujours un rêve... après tout s'était Youssef, le monstre et malheureusement je ne serai jamais sa belle...baissant mes yeux, je disais en les frottant
Moi: malheureusement, ta vie compte énormément pour moi Youssef, plus que tu le mérites
Quittant le siège où j'étais endormi, je commençais à préparer ce qu'il fallait pour lui soigner en disant
Moi: prend une douche pour que je te soigne
Youssef : non j'ai pas besoin, reprends ton beau rêve avec celui qui te poussait à sourire
J'arrivais pas à croire qu'il était jaloux de mes rêves donc je lui regardait bizarrement en disant
Moi: alors non seulement tu me déteste, mais t'as du mal à voir mon sourire... impressionnant... Bref, ça change pas que t'as besoin d'être soigné alors fait pas le gamin et dépêche-toi...il est déjà assez tard
Youssef : me donne pas des ordres bâtarde ! J'ai déjà la tête dans le cul!
Moi: t'as toujours la tête dans le cul, maintenant... s'il te plaît... dépêche-toi !
Me jetant un regard noir il commençait par placer ses deux pistolets sur la table basse puis il retirait son gilet par balle et sortait une dague de nulle part, il voulait juste me faire peur et je le savais très bien donc j'essayais d'ignorer ses tentatives se concentrant sur ma préparation pour le soigner quand je l'entendais maudissant donc je tournais pour lui faire fasse voyant qu'il blessait davantage son épaule et avait du mal à utiliser son bras sans avoir mal mais j'allais pas l'aider ni lui proposer de l'aide, il allait le demander lui-même cette fois. Ça faisait 10 minutes qu'il entrait la salle de bain et entendant ses "putain de merdes" répétitives j'arrivais pas à croire la tête de fer de cette homme mais j'insistais encore que j'allais pas l'aider gratuitement cette fois, déjà lui soigner après m'avoir insulté d'orpheline est trop pour son caractère de merde. Sortant de la salle de bain portant une serviette autour de sa taille, il était sans doute mouillé mais il avait encore du sang séché et de la poussière partout en disant ou plutôt criant
Youssef : tu ne peux pas me soigner comme ça ?! Je ne peux rien faire avec un seul bras
Croisant mes bras contre ma poitrine, je disais essayant d'ignorer le fait qu'il était presque nu devant moi
Moi: ton bras prendra des semaines pour guérir complètement et je ne crois pas que tu comptes rester sans douche durant toute cette période
M'approchant dangereusement, il me disait méchamment
Youssef : seulement pour cette nuit ordure! Je suis sûre que demain je reprendrai mon forme pour se doucher tout seul, et je te laisserai jamais me toucher... Jamais espèce d'orpheline!
Essayant de cacher l'effet de ses mots sur mon âme brisé je répondais
Moi: rappelle-toi bien que tu m'as toujours touché férocement et la deuxième fois finissait par mon viol et depuis ça finit toujours mal alors j'ai certainement aucun intérêt à te toucher car chaque partie de ton corps me rappelle du mal qu'elles ont procuré dans chaque partie de mon corps mais je resterai toujours meilleure que toi et ton caractère de merde, c'est ce que ma mère m'a appris, pas celle la pute bien-sûr, celle qui m'a adopté car je suis orpheline... maintenant si t'as rien à rajouter et plus d'insultes à me dire, on doit commencer par te doucher.
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RIMEH
RomanceAyant une enfance malheureuse, Rimeh en avait marre de sa vie, des gens qui la traitaient de bâtarde, ayant une mère qui s'amusait à vendre son corps pour quelques euros, un père qui refusait d'admettre qu'elle était sa fille, et des frères qui la...