RIMEH

11. une grosse déception

P.D.V Rimeh:

Commençant à ouvrir les yeux je voyais mon con de mari entrain de zapper la télé en contemplant mes jambes au lieu de regarder l'écran vu que j'étais endormie avec ma robe d'hier soir, donc je couvrais mes jambes et prenais la parole

moi: concentre toi sur ton TV, t'as pas honte?! 

Youssef: non, t'es ma femme et j'ai le droit de tout voir ou même toucher alors ferme ta grosse gueule avant que je commence à toucher

moi: il vaut mieux que je changes d'habits donc

Youssef: si je voulais te toucher, je pouvais tout faire hier quand t'étais évanouie mais vu que je suis galant et gentil, j'ai rien fais

moi: galant et gentil?! tu me fais rire...à croire t'étais ainsi quand tu m'as frappé et essayé de tuer mes bébés ou quand tu m'as violé

j'aurais jamais dû dire ça mais s'était bien la vérité. S'énervant, il me tirait par les cheveux en m'approchant de son visage et disait dans un ton à la fois calme et énervé ce qui me faisais vraiment peur

Youssef: me cherche pas Rimeh...me cherche pas si non c'est vos con de bébés qui vont le payer, d'accord...Chérie

je pouvais plus sentir son odeur donc je le poussais et courais vers les toilettes pour me vider quand je l'entendais hurler pour que je pouvais entendre

Youssef: même tes bébés sont d'accord alors soit sage comme eux et bouges ton cul pour cuisiner! j'ai faim!

ce con! il m'arrachait les cheveux, me menaçait et puis croyait que j'étais sa servante! j'allais l'empoisonner ce malade

Youssef: et ne fais pas de conneries parce que tu vas tout goûter avant que je commence à manger

J'arrivais pas à croire! il lisait mes pensées ce chien! de toute façon j'allais pas le faire, il le méritait certainement, mais je n'allais pas quand même devenir tueuse à cause de lui, en plus il était le père de mes jumeaux et le plus important s'il lui arrivait un truc, Samir allait de nouveau m'obliger à faire la pute donc j'avais pas l'intérêt de le faire. Changeant mes habits, je portais une simple salopette jean avec un pull blanc puis commençais à préparer le petit déjeuner. Une demi heure plus tard, Monsieur me rejoingnait dans la cuisine et disait en me fixant

moi: quoi?! t'as pas aimé le menu?

Youssef: ta gueule et goûte!

J'avais certainement oublié ce détail! Mais bon, je voulais pas m'énerver donc je goûtait et reprenais ma place à l'extrémité de la salle à mangé, loin de lui quand il disait

Youssef: je mords pas, tu peux s'approcher un peu

moi: non merci

Youssef: s'était pas une question

moi: je veux pas, laisses-moi manger, j'ai faim

Youssef: t'as oublié notre conversation dans la chambre?

moi: non, mais...franchement... j'arrives pas à supporter ton odeur

Youssef: t'inquiètes pas je viens de prendre une douche

moi: j'ai pas dis ta mauvaise odeur, j'ai seulement dis ton odeur....ta propre odeur

Youssef: OK

Suite à sa réponse, j'avais vraiment cru qu'il allait laisser tomber l'affaire mais non, il prenait son plat et sa tasse de café puis occupait une place à coté de moi en continuant de manger comme si rien n'était! putain! Son odeur me dégoûtait, ça me rafraîchissait la mémoire de mon viol, j'arrivais plus à manger...en faite, j'avais même des nausées, donc je courais vers les toilettes pour vomir.