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_ Et si nous reprenions notre petit jeu de vérités, dit-il en servant le vin

_ Avec plaisir

_ Quelle est ta relation avec les membres de ta famille?

_  hum... Je ne suis pas très proche de mon père, il m'a privé de plusieurs joies dans son propre intérêt. J'aime beaucoup ma mère et je l'écoute beaucoup, mais je lui en veux de ne nous avoir jamais défendue devant mon père. Quant à mes soeurs, ce sont mes meilleures amies, mes confidentes, les seules qui m'ont toujours soutenues... Et toi?, dis-je en prenant une gorgé de ce délicieux vin

_ *il soupire; je ne suis ni proche de mon père, ni proche de ma mère. Je leur suis reconnaissant pour tout ce qu'ils m'ont offerts de matériel, néanmoins, je ne me souviens pas réellement d'eux comme des parents aimants et présents

_ Tu veux dire que tu as passé ton enfance pratiquement seul?

_ Oui, plus à partir de mes 10ans. Avant, j'avais un ami, le seul ami que j'ai jamais eu... Il est mort d'un accident de voiture

_ C'est terrible..., je...je suis désolé

_ Tu n'a pas à l'être, ça fait déjà plusieurs années et tu n'y est pour rien dans tout ça

      Il y'a eu un petit silence, puis les entrées sont arrivées. Ça a l'air bon.

_ Pourquoi cherche tu à me provoquer?, fit-il soudainement

_ Parce que tu me provoque. Toi, pourquoi me provoque tu?

_ Parce que tu es ma femme; il me regarde intensément. Si je ne te provoque pas, qui est ce que je vais provoquer?

_ Es-tu un sadique ou un masochiste?

      Ma question a l'aire de le surprendre. Il prend quelques bouchés avant de me répondre.

_ Un peu des deux, mais en vérité, sadisme et masochisme ne sont que des moyens d'obtenir des sensations fortes

_ Des sensations fortes!?

_ Oui, hum... Un peu comme ce qui s'est passé dans la chambre tout à l'heure

      Il le dit comme si de rien n'était. Mais le fait de repenser à cette...fessé, je rougis.

_ Et c'est ça quand tu deviens... violant?, dis-je doucement

_ Disons que ce n'était qu'un avant goût...

      Un avant goût... J'ai envie de le voir à bout.
      Les plats se sont enchainés dans le silence complet, jusqu'au dessert.

_ À quoi pense tu?, demande t-il

_ Rien de particulier, et toi?

_ À te baiser dans la voiture

      Il l'a dit en me regardant droit dans les yeux, preuve de son sérieux. Je me sens gênée. Je rougis encore.

_ Tu rougis beaucoup, sensible mais provocatrice... Un peu étrange, non?

_ Je...

_ Vous avez finis?, interrompu le serveur

_ Oui, l'addition s'il vous plait, dit Guillaume

      Il a payé et nous sommes sortis du restaurant. Devant la voiture, Guillaume m'ouvre la portière. J'hésite à monter mais il me sourit.

_ Ne t'inquiète pas, je peux attendre jusqu'à la maison

      Je décide quand même de lui faire confiance. Je monte. Sur le chemin du retour, il s'est mis à pleuvoir des cordes. Lorsque nous sommes arrivés, il s'est garé et nous avons couru vers la maison. Mais, à mi-chemin, je m'effondre malheureusement sur le sol mouillé.

_ Aïe! Zut!

_ Khrystal! Attend je vais t'aider

      Il m'a porté comme une princesse jusqu'à l'interieur de la chambre et me dépose délicatement sur le lit. Il enlève doucement mes talons et examine ma cheville.

_ Tu t'es foulée la cheville, ce n'est pas grave mais fait attention la prochaine fois

     Je hoche la tête. Il me regarde.

_ Tu es trempée, tu risque d'attraper froid comme ça

      Avant même que je n'ai eu le temps de réagir, il a commencé à me déshabiller en fesant glisser les manches de ma robe sur mes épaules. Une fois ma robe enlevé, il l'a jeté par terre avant de se déshabiller lui même. Il me regarde, je pense que je suis rouge. Il s'est approché de moi pour désagrapher mon soutien et me l'enlever.  Ensuite il me porte jusqu'à la douche où il me dépose avant d'ouvrir l'eau chaude.
     Nous sommes nus dans la douche et je ne sais pas ce qu'il compte faire. Il se met du gel sur les mains, frotte et me mousse le corps avec. Le coup, les bras. Arrivé a mes seins, il s'est encore rapproché, il prend tout son temps pour bien les malaxer. Je respire plus fort, j'ai envie d'attraper ses mains mais je ne peux pas bouger. Il passe sur mon ventre et mes hanches. Il a fait une petite pause pour me regarder.
      Il remet du gel sur ses mains et frotte mes jambes en montant. Il frotte l'avant de mes cuisses et me retourne. Il tire doucement sur ma queue de cheval pour que je me cambre. Et il commence à frotter mon dos et arrive à mes fesses. Je l'entend respirer fort dans mon dos. Il malaxe mes fesses, et plonge sa main vers mon intimité. Il attrape mes cheveux d'une main et de l'autre il fait des mouvements circulaire sur mon clitoris et tire dessus. Je gémis. Il recommence mais plus vite. Il tire de nouveau et  en mordant mon oreille, je gémis et frisonne.
      Il recule un moment et me scrute. Il prend du gel et se frotte les bras et le coup. Je l'interrompt.

_ Tu m'a lavé, alors laisse moi te laver, fis-je

_ Es tu sûr de pouvoir le faire?

      C'est vrai que je ne peux pas bouger, ni tenir correctement sur mes deux jambes, mais...

_ Si tu me demande de le faire, je le ferai

      Il s'est rapproché et m'a retourné pour me regarder dans les yeux.

_ Très bien alors, lave moi

      Ses mots décrispent immédiatement mes muscles. J'avais donc raison. Je prend le gel et m'en met sur les mains.

_ Retourne toi, lui dis-je

      Il s'exécute. Je frotte alors son dos si virile. Je passe ensuite mes mains entre ses bras pour frotter délicatement son torse. Mes mains glissent sur ses abdos et atterissent sur son membre si gros et déjà dur. Je le prend d'une main et le masse de haut en bas. Il ne dit rien mais je le sens durcir de plus en plus. De mon autre main je masse ses boules en pressant et en tirant un peu dessus. Il regarde attentivement mes mains faire. Je tire alors plus fort et il m'arrête, se retourne et me plaque dos à une parroie. Il me soulève les cuisses et enroule mes jambes autour de sa taille.
      Il me regarde profondement quelques secondes puis m'embrasse langoureusement, lentement et tendrement. Je n'ai pas envie que ce moment s'arrête.
      Je crois que je suis en train de tomber amoureuse...

Paralysie Où les histoires vivent. Découvrez maintenant