Je sors de la salle de bain déjà prête. Guillaume m'a offert une longue robe moulante belge au épaules dénudées et dont la fente m'arrive à mi-cuisse, ainsi qu'un magnifique collier d'argent parsemé de quelques perles précieuses. En sortant habiller comme ça et maquiller légerement, les cheuveux lachés, je ne peux échapper au regard déstabilisant de mon mari. Il me regarde de haut en bas et sourit. Il se rapproche et caresse le long de ma fente. Il vient ensuite loger ses deux mains sur mes fesses qu'il caresse en dessinant des cercles.
_ Tu es magnifique
_ Merci
Il me retourne et me plaque contre le mur. Il passe sa main sur mon ventre et le pousse en arrière pour faire remonter mes fesses.
_ J'ai envie de faire rebondir tes fesses avec une une bonne fessé
Il respire fort dans mon cou en malaxant mes fesses. C'est quoi son problème avec la fessé!?
_ Ce n'est pas de la maltraitance de frapper une femme!?
_ *il sourit malicieusement. Pas quand ça lui fait du bien au point d'en redemander
Comment ça du bien? Comment une fessé pourrai faire du bien? Je ne comprend plus rien.
Il se détache de moi et va s'enfermer dans la douche. Au bout de 30min, nous sommes dans la voiture, roulant dans des rues qui me sont inconnues. Après trente autres minutes de route, nous nous rangeons sur le parking d'un immense immeuble d'une vingtaine d'étages sonctueusement illuminé. Nous entrons dans ce qui semble être une réception. Nous nous approchons d'une femme habillée en tailleur, assise derrière un grand bureau de verre._ Bonsoir monsieur Grishwall, dit poliment la femme. Est-ce votre femme?
_ Oui, Mélodie. Où se déroule la fête?
_ Madame
Elle me sourit et me salue de la tête, j'en fais de même.
_ La fête est au 11ème, dans la grande salle, reprit-elle. Je vous souhaite une agréable soirée
C'est donc bras dessus bras dessous que nous nous dirigons vers l'ascenceur. Après nous, deux hommes et trois femmes élegamment vêtus sont entrés. L'ascenceur s'est mis à monter. Au bout de quelques étages, Guillaume se met à me carresser délicatement le dos ce qui me fait frémir. À croire que les gens autour n'existe pas pour lui. L'ascenceur s'ouvre enfin sur le 11ème, mettant un terme à mon calvaire.
La salle est pleine à craquer. Il y a des asiatiques, des africains, des vieux, des jeunes; des robes en tout genre, des plus luxieuses aux plus simples. C'est un vrai défilé de mode sur le thème des couleurs. Des serveurs passent entres les gens avec en main des plateaux plein de verres remplis de liquides au couleurs différentes. Il y'a un buffet de fruits exotiques à gauche, et au fond de la salle un orchèstre joue de la musique classique. C'est un cabinet d'avocats ça!
Au fur et à mesure que nous avançons dans la salle, les yeux se rivent sur nous._ Tu es tellement belle que les gens n'arrête pas de te regarder, me chuchote t-il à l'oreille
Je rougis à cette idée. Un homme d'âge mûr s'avance vers nous avec un grand sourir au lèvres. Il fait une acolade chaleureuse à Guillaume.
_ Grishwall, le géni de mon entreprise. Je suis heureux que tu es pu venir
_ Je n'aurai jamais pu manquer ça
L'homme se retourne alors vers moi et me dévisage perplexe.
_ Qui est donc cette merveille de nature?, dit-il en me baisant la main
_ C'est ma femme, affirme joyeusement Guillaume en me tirant dans ses bras
_ Mon ami, tu as très bon goût. Surtout veille à ce qu'aucun œil mauvais ne la regarde. Une femme, c'est précieux
Son conseil me glace le sang. L'homme nous laisse et nous nous dirigeons vers un groupe de personnes.
_ Viens, je vais te présenter
L'idée ne m'enchante pas mais je le suit.
Ça fait à peine 30min que nous sommes arrivés et Guillaume m'a déjà présenté à plus de vingt trois personnes. Pendant qu'il discute avec ses collègues d'une affaire d'enfant perdu, je décide de m'éclipser en direction du buffet de fruits exotiques. Il y en a pour tout les goûts : des salades de fruits, des brochettes de fruits, des jus de fruits, des pommes d'amour... J'opte pour une brochette de fruits secs: raisins verts et rouges, cerise et fraise. Je m'apprête à dévorer littéralement cette brochette quand je vois au loin, Guillaume qui me fixe. Le fait qu'il me regarde change tout et je décide de le provoquer un peu.
Je le regarde et en oublie la présence de centaine de personnes. Je prend le premier raisin et le suce lentement en le fesant tourner et aller et venir dans ma bouche, je le croque par la suite avec la même lenteur. Il écarquille les yeux, il a l'air absorbé par les mouvements du raisin dans ma bouche. Je reprend le processus avec le reste de ma brochette. À la fin de ma dégustation, il s'approche enfin de moi muni d'un sourire ravageur._ Viens, je vais te montrer mon bureau
Il me tend la main , je la prend et je le suit dans l'ascenceur. Cette fois, nous y sommes seuls.
_ Tu cherche à me pousser à bout?
_ Oui
_ Ça t'amuse?
_ Oui
_ Tu connais les conséquences?
_ Oui
Les portes de l'ascenceur s'ouvrent et nous en sortons. Nous arrivons sur un long couloir avec trois portes sur chaque murs ainsi qu'une porte tout au fond du couloir. C'est vers cette dernière que nous nous dirigeons. Elle donne sur une sonctueuse et spacieuse salle. Au fond de la salle, trois petites marches donnent sur un grand bureau en verre. Derrière ce bureau, une vitre, s'étalant sur tout le mur, donne une vu merveilleuse sur la ville illuminée. Les murs d'un bleu claire, sont tapissés de coupures de journal encadré. À droite, une grande étagère pleine de livres de droit.
_ Woahw! C'est ton bureau?, fis-je en caressant le bureau de verre dur
_ Oui. Mais quand tu es là, je le vois sous un nouveau jour
Il me retourne et me soulève sur le bureau. Il m'embrasse fougueusement en soulevant ma robe. Je sent son érection sur ma cuisse. Je me laisse emporter par ses baisers et savoure le moment, après tout je l'ai bien cherché. Quelqu'un ouvre la porte sans crier garde. Guillaume s'éloigne et je descend du bureau à la vitesse de la lumière.
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Paralysie
RomanceAprès mon mariage, ma vie a totalement été chambolée. Entre paralysie, sadisme, masochisme, psychopathe, nymphomane, obsédé, violence, accidents et tourtures en tout genres; je suis si perdue que même une bonne fessée ne saurai m'aider à survivre. ^...