Elle place une pince sur chacun de mes tétons, une pince sur mon nombril et une pince sur chacune de mes lèvres vaginales. Les pinces sont brûlantes et je cri à leur contact. Elle insert ensuite quelque chose de dur dans mon vagin, comme une, non, deux petites boules à bosses. Elle me plante lentement plusieurs petites aiguilles dans le ventre. Je cri et me tortille. Je fait de mon mieux pour supporter mais j'appréhende la suite.
_ AAAAAAAAAHHHHHHHHH!!!!!!, m'écriais-je
Elle enchaîne les coups sur mon corps avec ce qui semble être un fouet ou quelque chose de plus dur.
^ ^ ^ ^ ^ ^
Ça fait deux heures, peut être trois, que cette folle me rue de coups entre les pinces et les aiguilles ainsi que dans mon entre-jambes. Les coups sont violants et les aiguilles me déchirent la peau et les pinces me brûlent les seins et le vagin. Je hurlait mais maintenant je n'ai plus voix, alors je me contente de pleurer.
Enfin, elle s'arrête, mais je sens que mon supplice n'est pas terminé. Elle me caresse le bras droit et, d'un outil très tranchant, elle me découpe la peau, elle fait comme un dessin sur mon avant bras. Je sens mon sang couler de part et d'autres de mon bras. Je pleure toutes les larmes de mon corps, mais je n'ai plus de voix.
Le temps passe et je ne sais plus depuis combien de temps je suis entre ses mains. Elle retire les boules de mon vagin, brutalement, mais mon corps épuisé par tant de souffrance, ne réagit pas. Puis elle détache du lit les chaînes reliées à mes bras, enfin! Mais pourquoi?_ Ne te méprend pas, je n'en ai pas fini avec toi, fit-elle en enlevant le tissu qui recouvre mes yeux. Mais je veux que tu me lèche et donc il faut que tu te redresse. Ensuite on pourra continuer notre petit jeu
Que je me redresse?... Je vois là une opportunité de m'échapper de cet enfer. Je réuni alors mes reste de force et m'arme de courage pour me redresser péniblement. Je regarde mon corps et suis horrifié. Elle a gravé son prénom sur ma peau avec un couteau, les aiguilles dans mon ventre m'ont laissées des traits ensanglantés. Je n'ai plus de larmes à verser et prend ma haine en motivation pour m'ensortir.
Elle s'allonge, nue, a côté de moi, sur les draps plein de sang._ Depêche-toi, lèche moi et fait le bien... Et n'enlève surtout pas les aiguilles
Je me met, tant bien que mal, entre ses jambes. Elle mouille tellement, je n'arrive pas à croire que tout ce qu'elle me fesait depuis l'excitait. J'approche ma tête de son sexe, les aiguilles s'enfonce dans mon ventre. Je fait abstraction de la douleur et la suce profondement. Sa cyprine m'écœur mais je continue. J'enfonce ma langue dans son vagin et dessine un cercle à l'intérieur. Elle gémit, m'attrape les cheveux et soulève ma tête.
_ Cherche tu à me faire jouir?
_ Y'a t-il un problème à ça?
Elle me lâche la tête et je reprend le processus. Je suce son clitoris avec hardeur et le mord violamment. Elle gémit et jouit. Je continue en mordillant son clitoris et en plongeant deux doigts dans son vagin. Après un moment, je mord une seconde fois son clitoris et elle jouit de nouveau. Ça y est! C'est le bon moment!
Elle est étourdie par les orgasmes qu'elle vient d'avoir. J'en profite pour monter sur elle et la frapper aussi fort que je peux. J'enchaine les coups sur son visage jusqu'à ce qu'elle perde connaissance. Je souffle enfin un peu et retrouve l'espoir. J'enlève ces maudites aiguilles de mon ventre ainsi que les pinces. L'adrénaline me fait oublier la douleur. Je m'empresse alors d'enlever toutes ses chaînes. Je n'arrive qu'à enlever celle qui retiennent mes jambes, c'est suffisant. Je prend mon téléphone sur la table de chevet et compose le numéro des urgences._ Allô, quelle est l'urgence?
_ Je me suis faite séquestré chez moi et mon mari est enterré vivant dans la cour et..
Samira ouvre les yeux soudainement et me regarde avec mépris. Je ne refléchie pas lui frappe la tête avec le téléphone. Elle s'évanouit et saigne abondamment. Il n'y a plus de temps à perdre.
Je me traine hors de la chambre, tombe et dévale les escaliers sur les fesses. J'ai affreusement mal et de violents vertiges m'empêchent de me lever, mais je prend appuye sur le mur pour aller dans la cour arrière.
Je fait à peine queques pas en avant, que l'on me tire violemment la tête en arrière et je tombe à la renverse. Samira se dresse devant moi, avec tout ce sang sur elle comme une revenante. Elle est vraiment tenace comme fille. Le choque à la tête m'a étourdi mais j'essaye de me relever. Elle m'attrape la tête et passe son bras autour de mon coup._ Je t'ai dit que tout irai bien si tu es obéïssante. C'est pas bien compliqué, obéït simplement! Toi et Guillaume vous êtes pareilles, des traitres
Elle reserre son bras autour de mon coup. Elle m'étouffe, je suffoque, me débat, ma vue s'affaiblie. J'utilise la chaine autour de mon poignet et la frappe avec à la tête, elle me lâche. J'en profite et enroule la chaine autour de son coup. Je tire aussi fort que je peux. Elle se débat encore et encore, puis lâche enfin prise mais je continue à tirer sur les chaînes pendant encore un moment. Je m'arrête et vérifie son pou.
_ Elle est enfin morte...
Je reprend mon souffle mais je me rappele que Guillaume lui, n'a peut être plus de souffle. Je reprend alors, aussi vite que possible, ma route vers la cour.
Après enfer et souffrance, j'y suis enfin. Je m'empare de la pelle et creuse, mes forces m'abandonne mais je me force, je ne peux pas l'abandonner. Après plusieurs coups de pelle, je m'effondre et continue avec les mains. J'y suis enfin, j'aperçois le bois du cercueil sous cette couche de terre. Je reprend espoir._ GUILLAUME! GUILLAUME!
Je dégage le cercueil. Je peine à l'ouvrir mais j'y arrive. Aussitôt, je plonge à l'intérieur et atterie sur lui. Je pose ma tête sur sa poitrine.
Boum.... boum.... boum.... boum
Il est vivant. Rassurée par les battements lents de son coeur, je m'évanouie.
Une couverture chaude me recouvre. J'entre-ouvre les yeux, les urgences sont là. Je perd de nouveau connaissance.
VOUS LISEZ
Paralysie
RomanceAprès mon mariage, ma vie a totalement été chambolée. Entre paralysie, sadisme, masochisme, psychopathe, nymphomane, obsédé, violence, accidents et tourtures en tout genres; je suis si perdue que même une bonne fessée ne saurai m'aider à survivre. ^...