Chapitre 27 "La vallée des larmes"

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Tu tombes, tu tombes de très haut. Sans t'arrêter, sans voir les secondes s'effiler.

Puis...

Plouf !

Oui, encore un plouf.
Encore...
Encore...?
Où as-tu déjà entendu ce bruitage...?

Dans une eau qui était bleue claire et propre, quasiment comme de l'eau bénite ou de l'eau de roche, tu nages de toutes tes forces vers le haut, vers la surface.
Puis tu prends une grande bouffée d'air, prenant après, le temps de te sortir de... L'espèce de bassine, dans laquelle tu venais te tomber ?

En dehors du coin d'eau, tu te retrouves sur un chemin de dalles blanches. Et comme si c'était le bon moment, ton ventre gargouille, tu as faim. En te relevant, sans faire exprès, la dalle blanche sur laquelle tu es, se brise.

... Tu pètes la dalle, dis donc.

Tu tousses un peu, avant de te laisser tomber sur un genou, pour laisser ton cœur reprendre un rythme de battements normal.

Quand tu y penses, tu es tombée de tellement haut que normalement, ton cœur aurait dû cesser de battre et tu aurais dû mourir. Mais non, la chance est avec toi. D'ailleurs, quand tu regardes vers le ciel, tu vois une porte noire flotter dans le vide.

... Eh oh, on n'est pas dans Minecraft ici.
La porte de la mort.
Littéralement.

Tu te remets debout, sur pieds, afin d'à présent, regarder autour de toi. On dirait un décors à la Alice au pays des merveilles. C'est comme si... Tu te trouvais dans un jardin géant, dans une espèce de paradis... Absolument rien à voir avec ce que tu as croisé au par avant. Il y a comme un soleil éternel mais tu ne le vois pas. Il y a des arbres très grands... mais ceux-là sont absolument normaux, et possèdent de grandes feuilles vertes volumineuses.

Tu penses être quand même traumatisée par les arbres, maintenant.

Tu te mets alors en marche, passant sur chacune des dalles blanches qui faisaient un petit chemin bien sympathique...
... Qui ne mène d'ailleurs nulle part car il s'arrête, donnant sur un espèce de gazon où au loin, il y a un petit ruisseau, mais de grosses pierres pour pouvoir le traverser.

... Ah non, ce ne sont pas des pierres.
Mais des têtes, des visages.

Qu'as-tu dis pour l'endroit paradisiaque, déjà ?

Étant déjà trempée de la tête aux pieds, tu décides de ne pas marcher sur les visages et simplement traverser le ruisseau en trempant le bas de ton corps.

Le seul chemin qui semble devoir être prit, est une espèce de plateforme de gazon. On dirait aussi une toute petite montagne. Comme si c'était fait exprès.

Tu montes sur la plateforme, lorsque tu entends des rires d'enfants, provenir de l'autre côté de la plateforme. Étant sur celle-ci, tu regardes au loin.
Puis... Tu apperçois deux jeunes... enfants ? Une petite fille...

 enfants ? Une petite fille

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Kᴏᴋɪᴄʜɪ×Rᴇᴀᴅᴇʀ 2°Où les histoires vivent. Découvrez maintenant