Chapitre 34 "Les dés du destin''

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/!\ Attention, mutilation et termes choquants

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/!\ Attention, mutilation et termes choquants. /!\

{P.D.V READER}

De ta main dominante, tu gardes ces dés de la mort bien placés de manière sage dans ta paume. Tu la secoues un peu, en tentant au possible de te concentrer sur ta chance, remuant ainsi les dés qui s'interchoquent lentement entre eux. Puis enfin... Finalement.

Tu joues ta carte, et balance alors les dés sur la case de devant toi, avant que le dé noir ne tombe sur le numéro 6, et le dé rouge ne tombe sur le 4. Tu dois donc avancer de 10 cases. Tu t'en allais marcher vers la destination, mais la voix robotique t'en empêches d'une manière soudainement grossière:

''- Minutew dragon ! Ton concurrent n'a pas encore jouéw, c'est chacun son tour !''

''- Tu n'as jamais précisé ça, dans les règles !'' T'écris-tu au tac au tac, pendant que Doku-Kun joue sa propre chance.

''- Tu t'es quand même arrêtée, tu as marchéw dans lew piège HAHAHA !''

Ah yes.
Tu râles vite-fait et silencieusement, récupérant alors tes dés en chemin, avant de ne marcher de manière prudente, jusqu'à la fameuse case 10.

Dokusha-Kun s'avance vers la case 6. Il a eu une paire de 3.

À peine arrivée sur la case voulue, une petite ligne de lumière apparue comme par magie au dessus, puis une autre à côté. Qui forma soudain, une lettre. Puis d'autres lettres. Hélas, les lignes ne sont pas normales, non. Elles sont dessinées de manière à ce qu'on dirait des griffures, faîtes par un animal enragé. Les lettres formèrent par la suite des mots. Puis enfin, les mots formèrent une phrase :

10, un nombre parfait pour un commandement.
10, un nombre adéquat pour des traditions.
Un âge abstrait, ou un mauvais argument.
En étant un nombre arguât, il suscite la révolution.

Un frisson lugubre te passa du haut de la colonne vertébrale, jusqu'en bas, avant de te sentir étrangement... Déterminée. La dernière phrase du poème avait quelque chose d'étrangement encourageant. Une... Révolution !
Seulement, rien ne se passe sur le moment, donc tu te retournas vers Doku-kun qui se trouvait à 4 cases derrière toi.

Mais pour lui, le coup eut l'air de se dérouler différemmen. Car il semble soudainement se tordre un peu de douleur, en tenant son bras, celui qui ne s'est pas fait griffer par le loup-garou. Le bras vierge semble... Se faire mutiler, à son tour, à la différence qu'il n'y ai personne de matériel qui le lui fait malsainement. C'est comme si... Sa peau se coupait toute seule. Cependant, une seule phrase au lieu de 4, est apparue sur son bras, dûe à ces mutilations...
Il la lu à voix haute, les dents serrés, tout en halètant à cause de la douleur:

Kᴏᴋɪᴄʜɪ×Rᴇᴀᴅᴇʀ 2°Où les histoires vivent. Découvrez maintenant