Have a seat
I've been waiting for you
Naturally
This is what I should do
So happily
I've been saving for you
So have a seat
She's been waiting (She's been waiting)
Lord knows what I want to do in the morning
Wake up, make love for a moment
Know that you been needin' it bad, and it's yours baby
So I'm bout to take you down
Oh, I'm bout to put you in the right place
Open up pandora, get a nice taste
The way I'm touchin' you, the way I'm fuckin' you
Doin' the things that we do, 69, dinner for two
Yeah, you should know, yeah, you should know
Just how it feels when I don't have you home
Leave your legs upright, come live your best life
Take it from me, baby
Have a seat (Have a seat)
I've been waiting for you (I've been waiting for you)
Naturally (So naturally)
This is what I should do (I should do, baby)
So happily (Have a seat)
I've been saving for you (I've been saving for you, baby)
So have a seat (Yeah)
She's been waiting (She's been waiting for you)
She should tell me, how you're gonna please me
I'ma set this house ablaze, long fuckin' hours babe
All to see your smiling face, that'll be the only way to change places
Yeah, you should know, just how it is when I don't have you home
Leave your legs upright, gonna live your best life
Take it from me baby, yeah
Have a seat (Have a seat)
I've been waiting for you (I've been waiting for you)
Naturally (Naturally)
This is what I should do (What a man should do)
So happily (Happily)
I've been saving for you (Saving for you, yeah)
So have a seat (Have a seat, baby)
She's been waiting (She's been waiting for you)Arin Ray - A Seat
Dans le chapitre précédent Giulia a été invitée à une nouvelle soirée avec son nouveau groupe d'amis où elle s'est à nouveau perdue elle-même, ainsi que sa virginité avec Theodore Nott.
- Moretti, on se lève, me sorti d'un sommeil profond la voix de Theodore.
Lorsque j'ouvris les yeux il se tenait debout devant moi, à moitié nu, portant seulement une serviette pour cacher la partie inférieure de son corps. Ses cheveux mouillés dégoulinaient encore sur son visage, il sortait de sa douche. Il avait l'air parfaitement en forme alors que je me relevais doucement sur le lit pour m'asseoir, me rappelant que j'étais totalement nue. Le même mal de crâne, peut-être encore plus intense que celui de la veille venait de se manifester. Je portai une main à mon front alors que Theodore, toujours planté là, se moquait en riant à travers son iconique large sourire.
- Tu prendras l'habitude, conclu ce dernier en secouant ses cheveux à l'aide de sa main droite. Si tu ne veux pas être en retard en cours tu ferais mieux de rejoindre ton dortoir, continua-t-il, bien que ça ne me dérange pas que tu restes ici, il termina finalement en se penchant sur le lit avec un sourire provocateur avant de m'embrasser langoureusement.
- Ne rêve pas trop Nott, provoquai-je à mon tour en me levant difficilement, partie pour faire la chasse à mes vêtements aux alentours du lit. Tu as vu ma culotte ?
Il la tenait entre ses dents lorsque je me retournais à son encontre à la recherche d'une réponse. Je la lui arrachai, un léger sourire dessiné sur mes lèvres sèches et m'habilla rapidement en regardant autour de moi. Visiblement, Nott était préfet-en-chef étant donné qu'on se trouvait dans une chambre qui ne comportait qu'un seul lit. Jetant un coup d'œil rapide à son réveil, je décidais que cette question attendrait plus tard et je m'enfuyais rapidement à l'autre bout du château pour retrouver le chemin de mon propre dortoir.
Une fois arrivée à destination, les cheveux en pagaille, le maquillage de la veille dégoulinant sur mon visage et l'air de ne pas avoir dormi depuis trois jours, je riais malgré moi à mon reflet dans le miroir de la salle de bain commune. La plupart des filles présentes, déjà prêtes, douchées, habillées, coiffées ainsi que maquillées me regardaient d'un air mauvais, mais personne ne dit rien. Personne hormis Luce, bien sûr, qui arrivait en trombe l'air ahuri comme si elle venait de voir quelque chose d'absolument scandaleux :
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Alpha Ophis
Fanfiction"Je ne pouvais pas supporter d'être dans ma tête une seule seconde lorsque celle-ci était sobre et vagabondait parmi les fantômes de mon passé, allant de traumatisme en traumatisme, me rappelant sans cesse ce qu'il c'était passé, ce que j'aurais pu...