Thought I found a way
Thought I found a way out (found)
But you never go away (never go away)
So I guess I gotta stay now
Oh, I hope someday I'll make it out of here
Even if it takes all night or a hundred years
Need a place to hide, but I can't find one near
Wanna feel alive, outside I can't fight my fear
Isn't it lovely? All alone
Heart made of glass, my mind of stone
Tear me to pieces, skin to bone
Hello, welcome home
Walking out of time
Looking for a better place (looking for a better place)
Something's on my mind
Always in my head space
But I know someday I'll make it out of here
Even if it takes all night or a hundred years
Need a place to hide, but I can't find one near
Wanna feel alive outside I can't fight my fear
Isn't it lovely? All alone
Heart made of glass, my mind of stone
Tear me to pieces, skin to bone
Hello. Welcome home
Hello, welcome homeBillie Eilish & Khalid - Lovely
ATTENTION : Ce chapitre contient de la violence et la description d'un viol.
Si, pour une quelconque raison, cela risque de te mettre mal à l'aise ou quoi que ce soit de désagréable, je t'invite à arrêter la lecture. La dernière chose que je souhaite c'est qu'on se sente mal en me lisant.
Chapitre 12 :
Je n'avais pas bien compris ce qu'il venait de se passer. C'était une soirée complètement délirante. Et Blaise m'avait littéralement foutue au lit comme un père l'aurait fait avec sa gamine de 5 ans. Mais l'adrénaline redescendant, l'alcool et les drogues également, quand il m'allongea sur mon lit en silence, je posai la tête sur l'oreiller, et m'endormi aussitôt. Je n'avais besoin de m'inquiéter de rien. Blaise était là.
Quelques heures plus tard, ou instants, ou minutes, je ne saurais le dire, ma porte s'ouvrit dans un vacarme surprenant. J'étais dans un état bien trop second pour ouvrir les yeux et faire attention à ce qu'il se passait. Un reniflement fort parvint à mes oreilles, des bruits de vêtements qui étaient enlevés et une voix familière qui s'éleva alors que deux mains glaciales attrapaient mes hanches avec violence me permit de comprendre ce qu'il se passait :
- Viens-là salope, cracha Theodore.
J'ouvrais les yeux rapidement, forcée de prendre conscience de ce qu'il se passait alors que je sentais d'ores et déjà le sexe de Theodore en moi. Je le poussais d'un mouvement faible de la main :
- Pas maintenant Theo, articulai-je non sans effort.
Il tenait mes hanches si fort entre ses doigts qu'il me faisait mal, et il n'arrêtait pas de me pénétrer malgré ma protestation.
- C'est ça que tu aimes en fait, hein ? chuchota-t-il, à bout de souffle alors qu'il ne s'arrêtait pas.
- Putain Nott dégage, j'ai dit non ! je trouvais la force de prononcer avec plus de conviction alors que je tentais de le pousser plus fort cette fois, commençant à m'inquiéter de ce qu'il se passait.
- C'est ça que tu veux ?! Qu'on te traite comme la pute que t'es ? C'est ça qui te fait prendre ton pied salope ! continua-t-il plus fort, accélérant le rythme de ses pénétrations.
Paniquant, je tentais de me relever sur le lit pour me mettre en position assise, et faire clairement comprendre au Nott ivre et drogué que j'avais en face de moi que je ne voulais pas avoir de rapports avec lui. Mais lorsque je tentais de me relever il me frappa d'une claque et appuya désormais ses mains sur mes épaules, me forçant à rester immobile alors qu'il continuait de me pénétrer avec plus de force. Mon cœur s'était mit à battre à toute allure dans ma poitrine, si fort que je ne ressentais même plus ce qu'il me faisait. Les larmes étaient montées à mes yeux avant même que je comprenne ce qu'il était en train de me faire. Il était en train de me violer. J'étais en train de me faire violer. Je commençais à remuer les jambes aussi fort que je le pouvais, et tentai de crier, mais le malade qui se trouvait au-dessus de moi couvrit ma bouche de sa main, m'empêchant de respirer par la même occasion.
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Alpha Ophis
Fanfiction"Je ne pouvais pas supporter d'être dans ma tête une seule seconde lorsque celle-ci était sobre et vagabondait parmi les fantômes de mon passé, allant de traumatisme en traumatisme, me rappelant sans cesse ce qu'il c'était passé, ce que j'aurais pu...