L'arène du chien.

Wonderland - Chap 10

Mon premier combat était venu. Je me trouvais face à mon adversaire, le numéro deux.

Le thème était Épée, de ce fait, dans toute l'arène étaient dispersées tout un tas d'épée.

En face de moi se trouvait mon oncle.

Il avait un gradin pour lui seul, comme l'avait Jules César, à ses côtés il avait Éric ainsi que deux autres personnes à ses côtés. Savoir qui il était m'importer peu.

Éric prit alors la parole.

- Le combat à mort sur le thème Épée va commencer. N'oubliez pas dans la Gamehouse il n'y a qu'une seule règle, survivre ! Montrer que vous êtes digne d'être là gagnant de la Gamehouse. Que l'affrontement commence !

( 👤 Bonsoir ! La suite est à lire avec la musique de Wonderland - ATEEZ en fond ! ( période Ateez 🙊 ) )

Le combat venait à peine de commencer que mon adversaire se précipita sur une épée qui était près de lui. Je fessais de même. Il n'aura aucune pitié.

Alors moi aussi. Il commença à m'attaquer, je bloquais ces attaques à l'épée, heureusement il a l'air de pas vraiment savoir manier une épée.Mes années d'escrime allaient enfin me servir.

Nos épées s'enrocher, aucun ne voulait abandonner.Mais j'avais un avantage, mais le fait de le tuer m'empêcher de mettre fin à ce combat.

Dès que son sang aura coulé je serais alors devenu un criminel... Un tueur comme tu le veux...

En réfléchissant trop j'avais laissé une ouverture à mon adversaire, il en profita pour me blesser à mon épaule du bras droit, celle dont je me sers pour tenir mon épée.

Je pris un mouvement de recul, je posai ma main libre sur mon épaule déjà recouverte de sang.

Je dois arrêter de douter si je veux pas que ma vie s'arrête ici.
Mais je promets, que tôt ou tard, tu vas payer pour m'avoir fait couler le sang, mon oncle.

Tu seras le responsable.

Je regardai mon adversaire, il semblait choquer de son acte, il avait le souffle bruyant et fort, un air d'incompréhension s'afficher sur son visage.

Je relevais la tête, un sourire aux lèvres, je change alors radicalement de personnalité. Même lors de mes combats de rue je n'ai jamais senti une telle dissociation de la personnalité.

- Soit heureux, je vais être direct, tu ne vas pas souffrir. Dis-je presque d'un ton joueur.

Je fonce vers lui, la détermination dans les yeux.

Étant surpris il ne réagit pas, ou du moins trop tard. J'enfonce mon épée dans son ventre, le renversant à terre, je suis à présent sur lui.

- Dit moi comment tu t'appelle et pourquoi tu participes à la GameHouse .

Lui dis-je à l'oreille discrètement.

- Je...voulais payer les études de ma fille, Lise Gouder. Je m'appelle...Jean Gouder.

Dit-il avec une certaines difficulté. Afin de pas le faire souffrir plus longtemps, je lui tranche le cou. Il meurt instantanément.

[ refrain ]

Je me relève, aucun bruit, aucun applaudissement Je jette un regard à mon oncle.

Tu vois que je ne suis pas un enfant gâté.

Je jette l'épée ensanglantée au sol, la pointe de celle-ci vers mon oncle.

Comme réponse il ne fait qu'un sourire avant de se lever pour partir de l'arène.