Les jours se suivent comme les victoires. Les pages deviennent de plus en plus grise, me rappelant que je dois accomplir les espoirs de ces hommes & femmes qui ne pourrons les accomplir eux même.
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Le soleil venait à peine de se lever quand je décide de quitter ma chambre afin de me dégourdir les jambes quand en ouvrant ma porte je trouva Éric en face de celle-ci adossé contre le mur.
- Matinal ? Me dit-il un petit sourire en coin.
- Comme toi de ce que je vois.
Dis-je en sortant de ma chambre et commença à marcher dans le couloir.
- Tu compte toujours pas renoncer à La GameHouse ? Dit-il en me suivant.
- Non, d'ailleurs si mon oncle t'envoie c'est sûrement pour me faire la morale non ?
- J'aurais aimé mais non. Dis-moi tu es observateur non ?
Je m'arrête et me retourne pour faire face à Eric.
- Je pense l'être en effet pourquoi ?
- N'as tu jamais remarquée quelques choses au sujet des combattants ?
- Sûrement.
Je me retourne afin de continuer mon chemin vers la sortie du dortoir afin d'accéder au jardin, Eric toujours sur mes talons.
Le vent est doux est frais, depuis combien de temps je n'ai pas pris le temps de souffler, de profiter ?
- Menteur, tu n'as rien remarqué.
Je soupire avant de m'arrêter et de lui faire face.
- Écoute je sais pas ce que tu cherche mais abrège.
Son petit sourire en coin apparaît. Je le déteste.
Il s'approche de mon oreille.
- Trouve celui qui ne combat jamais, si tu veut contrarier ton oncle.
Je fronce mes sourcils puis m'éloigne d'Éric.
- Qu'es tu racontes ?
- Tu le sauras tôt ou tard, mais en attendant réfléchir qui est celui qui ne combat jamais.
Je le vois alors s'éloigner sans rien répliquer. Mais je finis par le rejoindre, une fois qu'il est rentré dans le couloir que nous avions emprunter pour sortir il y a peu.
Je pose une main sur son épaule, nos regards se croissent.
- Pourquoi tu m'as dis ça ? Tu ne veux pas que mon oncle gagne ?
Il sourit avant de reprendre sa route.
- Vient, je n'aime pas cet endroit.
Sans vraiment me poser de questions je le suis. Nous empruntons des couloirs, puis des escaliers avant d'arriver devant une porte.
La main sur la poignée il se retourne vers moi.
- Tu sais jouer du piano ?
Je le regarde intriguer, celui-ci ouvre alors la porte. Je découvre alors un piano au milieu de la pièce. Il rentre dans celle-ci, je le suis.
La pièce est tiente du sol au plafond d'un blanc intense, j'ai l'impression que mon sang se glace.
Un lit est présent au font de la pièce, avec une armoire mais rien d'autre, cette pièce n'est meublée que de trois meubles.
- C'est ta chambre ?
- Exact. Bien, maintenant prends place et joue.
Me dit-il en me montrant et m'invitant à aller vers le piano.
Inconsciemment je souris. Des souvenirs refond surface lorsque je touche les notes du piano. Depuis combien de temps je n'ai pas jouer ?
Je m'installe sur le petit banc puis regarde Eric.
- Tu veux quoi comme morceau ?
Il s'approche de moi, pose ses mains sur mes épaules puis s'approche de mon oreille droite.
- Tout ceux que tu veux tant que tu couvre notre conversation.
Je m'exécute alors.
Je joue Lacrimosa de Mozart.Pendant se temps là, Éric se rapproche de mon oreille.
- Trouve le. Celui que je te parle. Cela va contrarier les plans de ton oncle pour la suite du jeu.
Ses mains commence à se balader sur mon corps. C'est un toucher sensuel, il sait ce qu'il fait ce con. Mais je le laisse faire, appréciant son toucher.
- Le dernier combat dans l'arène s'est déroulé hier. Maintenant ils vont vous annoncer les demi - finales. Mais je te laisse un peu de surprise.
- Mais de quel côté es-tu ?
Ses mains s'approche dangereusement de mon entre-jambe.
- De celui du plus amusant.
Il decends la braguette de mon jean et s'apprête à aller plus loin lorsque je m'arrête de jouer et rejette sa main et me lève pour lui faire face.
- Ne va pas jusqu'à là.
Un sourire sournois apparaît alors sur celui-ci.
- Tu serais contre ?
Je le regarde alors dans les yeux, puis remarque qu'il est torse nu. À quel moment il a enlevé son t-shirt ? Malgré moi je regarde sa musculature incroyable. Musclé mais pas trop, des cicatrices qui ne font que l'embellir.
Mon regard à du me trahir car il se reproche de moi, l'obligeant à me mettre contre le piano, mes mains force accidentellement sur les touches du piano de chaque côté de mon corps.Ces yeux brille dans les miens, une tension sexuel monte entre nous. Je la sens, il l'a provoque.
- Que cherche tu as faire Éric ?
Il pose une main sur l'une de mes hanches, puis sa deuxième sur ma joue. Ces doigts sont glacé sur ma peau chaude, je peux sentir tout ses doigts poser sur ma hanche par dessus mon t-shirt.
- Rien, juste à découvrir ta saveur.
Sur ces mots, il m'embrasse. Un baiser affectueux et sauvage à la fois. Des lèvres douce, chaude.
Combien ces lèvres de dieu on embrassée d'individu pour laisser une empreinte pareille.
Il se retire alors et s'éloigne de moi, regagant sont lit situé en face de moi.
- Le fruit n'est pas encore mûre on dirait. Dit-il d'un ton déçu.
Je ne comprends pas le sens de ces paroles mais je ressens qu'elle ne sont pas flatteuse.
Vexé je fonce vers la porte puis la claque derrière moi et fonce vers ma chambre
- C'est quoi ce problème avec ce connard !?
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👤 Hello comment ça vas ?
J'ai enfin repris l'écriture ! Merci d'être aussi fidèle à cette histoire ainsi qu'a mon Dirigent qui attire encore beaucoup de monde ! Merci infiniment !
🍥 J'ai commencé une nouvelle histoire, je vous attend sur celle-ci aussi !
À la prochaine !J'ai pas encore corrigé les fautes éventuelles sorry peut-être un jour ! 🙈
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L'arène du chien.
De Todo" - Ici, il a qu'une règle, survivre. - Alors pourquoi je suis ici ? - Pour les divertir. " La GameHouse ne continent qu'une seule règle, survivre. Henry vient de perdre ces parents il n'a a peine quelques jours. En voulant découvrir qui à assassin...