𝕻𝖗𝖔𝖑𝖔𝖌𝖚𝖊

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                            DUNIYAH

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DUNIYAH

Sofiane - VAS-Y FRAPPE, FRAPPE ENCORE PLUS FORT !

Moi - C'EST CE QUE JE SUIS ENTRAIN DE FAIRE LA PUTAIN DE TOI !

Alors que j'étais entrain d'user toutes mes forces sur ce foutue punching-ball, Sofiane été entrain de m'encourager avant que je m'écroule sur le sol.

Sofiane - C'est bien ma p'tite, tu t'es pas mal débrouiller aujourd'hui.

Moi - En le regardant mal pas mal débrouiller tu dis ?? J'te signale que depuis 14h on est là, il est 20h.

Sofiane - On aurait pu faire mieux.

Moi - À qui la faute ?

Sofiane - C'est moi ? Ou tu est entrain de rejeter toutes la faute sur moi ?

Moi - En levant les yeux en l'air oublie, oublie. Alors ? Vu la séance d'aujourd'hui, tu penses que je suis prête pour...

Sofiane - En me coupant la paroles n'y pense même pas, la réponse est non !

Moi - Je souffle d'agacement tu comptes pas changer d'avis en faite ?

Sofiane - Exactement, t'a tout compris. J'crois que tu réalises pas c'que tu est entrain de dire.

Moi - Bien sûr que si ! Sinon je ne serais pas là devant toi en te suppliant de me laisser faire ce que j'ai à faire.

Sofiane - Mais tu t'es pris pour Rambo ? Ici c'est pas le monde des bisounours cocotte, t'es encore au lycée l'oublie pas.

Moi - Rire nerveux ohw...excuse nous monsieur j'ai 22 ans et je vend de la drogue.

Sofiane - Je vendais déjà !

Moi - En me relevant peu importe, c'est la même chose. Si tu me cherches, je suis dans les vestiaires sous la douche je m'en vais.

De la position actuelle où j'étais, j'ai pu l'entendre soupirer d'agacement, mais pour le coup ça m'était complètement égal. Ça m'énerve qu'il ne veuille pas me comprendre en se mettant à ma place. J'ai perdue tout ce que j'avais, et ça, il ne le réalise pas réellement.

                              Le soir venue

Alors que j'étais paisiblement entrain de dormir dans les bras de Morphée, j'me réveilla quelques minutes plus tard en sursaut, après le cauchemar horrible que je venais de faire. Je transpirer comme pas possible, en ayant le cœur qui battait à fond, et les mains hyper moites. Ma respiration été comme saccadées, j'avais besoin de me rafraîchir le visage.

Duniyah - Coeur sous cellophane Où les histoires vivent. Découvrez maintenant