et puis il y a ceux qui arrivent à monter dans une rame. ceux qui poussent pour rentrer et les chanceux. ce sont sûrement les plus heureux. ils sont partis, on ne sait où, mais ils sont partis. on ne s'épuise pas à les rechercher, ils ont pris un aller sans retour. il y a différentes façon de mourir, les heureux prendront le métro, les autres creveront de froid et de faim. et puis les tristes se jetteront du haut du quai. nous ne sommes pas voués à rester, nous sommes une humanité égarée
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métro
Poetryquand dieu crée le paradis, les hommes créent leur enfer | mai deux mille dix vingt |