et si quelque part il y avait un passage pour s'échapper ? une brèche, un rayon de lumière qui s'affiche au sol. l'espoir ne s'en va jamais vraiment. les fissures grimpent sur les murs, rejoignant les âmes qui s'y sont frottées. elles s'y sont fracassées une à une. au fond du trou, dans les souterrains, on fini tous détraqués. les bruits, le froid, le gris et l'effroi nous rendent fou. et ici, la folie n'a plus rien de beau.

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métro
Poesiaquand dieu crée le paradis, les hommes créent leur enfer | mai deux mille dix vingt |