les cœurs se croisent au détour d'un couloir le temps d'une vie et laissent un bout de leur chairs. le soleil n'est qu'un souvenir qui se fane peu à peu, et bientôt il ne restera plus aucune fleur. tout est noir, au fur et à mesure tout deviendra ténèbres. comme des rites funèbres, on s'enterre vivant. on se laisse sombrer dans les sables mouvants. on tombe et puis plus rien.
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métro
Poetryquand dieu crée le paradis, les hommes créent leur enfer | mai deux mille dix vingt |
