( AVERTISSEMENT, CE CHAPITRE CONTIENT DES SCÈNE DE VIOLENCE SEXUELLE, JE SUIS RESPONSABLE DE CE QUE J'ECRIT ET PUBLIE, MAIS JE NE SUIS PAS RESPONSABLE DE CE QUE VOUS LISEZ, HAME SENSIBLE S'ABSTENIR !!! )
Passons quelques mois, j'étais toujours dans le même CFA et je travaillais toujours dans le même restaurant puis j'habitais toujours chez Laétitia ma prof.
Trois Mois se sont écoulé, Nous sommes en novembre 2011, le 16 précisément je m'en souviendrais toute ma vie ... Je sort de cours vers Dix- heurs-trente pour prendre le bus et rejoindre mon petit copain Said ( de l'époque) en ville, on n'avait rendez-vous à dix-heurs ensemble. Nous sommes ensuite aller à l'épicerie, car je voulais m'acheter un Flash de Wiskey et du Coca, j'ai fais mon mélange en pleine ville, j'avais picolais, Ensuite on n'a pris le tramway direction pas loin de la ville pour que je prenne le Car de dix-neuf heurs qui ramène vers chez moi mais manque de chance je l'ai loupé, j'avais trop la haine parce que c'était le dernier.
donc j'ai pétés les plombs sur Said car je ne savais pas ou loger cette nuit là, puis il m'a dit que pour lui c'était impossible vu qu'il habitez encore chez ces parents et c'est pas faisable dans la religion musulmane c'est très impoli, en gros il allait me laisser dans la merde, j'avais le démon en moi du coup j'ai essayé de joindre plusieurs potes et aucuns ne pouvaient.
J'ai donc appeler Damien ( un de mes ex mais qui était devenu un pote ) au début il ne voulait pas car se n'est pas chez lui mais chez un de ces potes qui n'était pas là. puis il m'a rappelé en me disant que c'était possible .
J'ai raccompagné Said vers chez lui c'était juste à un arrêt de tramway de ou Damien squattait chez son pote.
J'arrive vers Vingt heur à l'appartement du pote à Damien qui n'était pas là, je venais juste de finir de boire mon mélange de wiskey coca dans la cage d'escalier, puis je l'ai jeté en même temps, du coup j'avais un coup de chauffe et je ne marchais absolument pas droit. et dans la baraque il y avais Mathis (un gars de mon CFA avec qui je m'entendais bien on squattait ensemble parfois aux inter pause des cours et c'était comme ça que j'avais revu Damien après plusieurs temps qu'on se parlait plus.
Damien sans savoir pourquoi je voyais qu'il tirait la gueule, quand je suis arrivé, et je ne comprenais pas la raison. Je me suis assise sur une chaise pendant que les gars jouer à la Playstation 3, ils se défonçaient la tête pour pas changer et Damien était sur le lit à me fixer bizarrement .
D'un coup je me suis senti super mal, j'avais la tête qui tournait, je voyais double mais je venais de kealer une douille et je me suis mise à dégueuler par terre dans le salon. J'ai demandé à Damien de m'aider à aller dans la salle de bain, je tenais vraiment plus debout, je comaté. Du temps que Damien ramasser les dégâts que j'ai commis, je suis rester je ne sais combien de temps ou d'heures dans la salle de bain à comaté.
Il venait me voir assez souvent pour voir si tout se passer bien, puis à un moment je lui est demander de me trouver un lit pour que je puisse dormir et de m'enlever mes bottes car je n'arrivais pas à les enlever vu dans l'état que j'étais. Je me couche en restant toute habiller, j'avais mon gros manteau type doudoune, mon jean, mon pull à capuche, donc disons que j'étais bien couverte + La couette, je me suis donc allonger du coter du mur, Damien il fumer un pète avec son pote Théo je crois puis Damien a éteint la lumière, il c'est ensuite glisser dans le lit mais il n'avait pas de place donc il me demander de me décaler mais moi je voulais pas qu'il dorme avec moi.
Donc je faisais genre de pas entendre et j'avais pas la force de bouger donc c'est lui même qui m'a décalé... Il c'est carrément collé à moi en m'emboîtant et à commencer à me toucher, je lui disais d'arrêter que j'avais mon copain, mais rien n'y faisait il continuer, en me lançant des " t'inquiète, t'inquiète..." j'étais dépité, ces mots raisonnait dans ma tête, j'en revenais pas de se qui m'arrivais, je dégageais sa main à chaque fois mais il y'allait encore plus fort comme si ça l'exciter.
Et moi je n'avais plus de force, j'étais à bout, épuiser, il m'a donc enfoncé ces doigt dans mon vagin, il m'a enlever mon pantalon à demi jambe avec une telle violence, il était pressé de me pénétrer... A ce moment là je me suis cru dans un cauchemars irréelle. Mes larmes coulais abondamment, j'étais perdu et je ne savais pas quoi penser de se qui était en train de m'arriver le pire c'est que je n'arrivais pas à réagir car pas la force à par pleurer, la fatigue et l'alcool bien accumulé. Il m'a pénétrer et se " vider les couilles" en me disant "t'aime ça hein t'aime..." puis ensuite il m'a pénétré pas l'anus et je me suis soudainement mise à hurler, crier de toutes mes forces. Et son pote Théo qui était dans la même pièce que nous, allonger sur un matelas avait bien entendu tout se qui ce passait, il m'a dit clairement "ferme ta putain de gueule toi", j'ai pousser Damien hyper fort en pleurant j'étais dans un état pitoyable, les voisins de l'appart d'à coter gueuler et taper dans le mur, j'étais sous le choc, puis j'ai du rester assise sur une chaise pendant 5 minutes à essayer de me calmer car je faisais en même tans une très grosse crise d'angoisse, je tremblais, sentait plus mon corps , j'avais mal à mes deux partis intime tellement il a était fort et ils m'ont laissé repartir. En claquant la porte Damien m'a dit "t'a pas intérêt d'aller voir les keufs et d'aller porter plainte" ( il a un casier judiciaire bien charger), moi j'ai répondu "laisse moi partir, tu à gâcher ma vie, t'avais pas à faire ça, pourquoi moi . " Puis je suis parti de se calvaire. Je me suis écrouler dans la cage d'escalier quelques instant.
Je me suis diriger vers l'arrêt de tram, j'ai attendu le dernier tramway qui mené vers la ville, il était dans vingt- six minutes, je ne cesser de pleurer et faire ma crise d'angoisse sans même me calmer, je cogitais en répétant toujours "pourquoi moi ? ".
Il devait être Minuit et j'ai pris le tram sans savoir ou aller, je me suis arrêter dans le centre de la ville, j'avais peur de tout les gens qui passer, je voulais me foutre en l'air sous les railles du tram mais manque de chance des personnes de l'accueil prévention du tram son venu me voir pour me demander se qui se passer. Mais rien n'y fait j'étaie sous le choc je n'ai pas eu besoin de prononcer un mots que la femme de la TAN qui me parler à compris ce qui mettais arriver à croire que ça se voyais bien sur ma gueule, je voyais noir, j'étais dans la désillusion et un total désarroi, elle m'a dit d'aller porter plainte, je lui et répondu avec faiblesse que je n'avais pas la force, j'avais peur et que je ne pouvais pas faire ça, je veux pas de problèmes, ect...
Elle m'a demander si je savais ou j'allais pour se soir je lui est répondu que non mais j'ai appelé devant elle, une copine en précisant la situation elle m'a dit "viens chez moi". J'ai donc laisser la dame de la Tan pour me diriger à pied chez ma pote qui habitez dans un quartier j'étais toujours pas calmer et les gens me regardaient mais j'étais traumatiser, j'ai marché pendant trente minute environs, et je suis arriver chez ma pote, mais la mère de ma pote n'a pas voulu me laisser entrer du coup ma pote à appelé son copain, je lui et dit que je voulais pas quel l'appel, elle ma dit fait moi confiance et son mec et venu me chercher, j'avais peur. ils à deviner se qu'il m'ai arrivé.
Arriver chez lui dans le quartier ou Malorie habite, il a changer les drap et ma laisser dormir dans son lit et lui sur le canapé, je n'ai pas dormi de la nuit malgré que j'étais pire que fatiguer mais j'étais vraiment sous le choc et mon cœur battait à mille à L'heure, j'étaie terrorisé je me remémorer sans cesse le moment ou il à gâcher mon existence, ces images y sont en permanence. Je n'oublierai jamais son visage et cette nuit ou il à gâcher ma vie.
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Sombre Vie ( TERMINÉ) Histoire Vrais.
Ficción GeneralOn dit souvent que les gens ne veulent voir que ce qu'ils ont envie de voir, mais quand la réalité saute aux yeux,certaines personnes se rendent compte de leurs erreurs et rectifie le tir. À force de mensonges, d'autres se font prendre à leurs propr...