une Toute nouvelle V

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Il y avait un bâtiment avec plusieurs vélo devant.
Ma mère était la, devant le bâtiment.

C'était ma rentrée des classes.

- pourquoi avoir choisis ce jours maman ?

- parce que ça résume bien, cette situation ma chérie... Ce jours là tu ne voulais pas que me lâcher, tu disais que tu voulais rester pour toujours avec moi.

- c'est toujours le cas maman...

- tu sais ma chérie, contrairement à taehyung, je ne suis pas immortel, j'allais mourir un jours ma beauté.

- mais maman, j'ai encore besoin de toi, comment ça ce fait que tu soie au courant, j'ai encore tellement de questions à te poser...

- je le sais parce que ton père en est un...je suis désolé de te l'avoir caché mais je ne voulais qu'il te fasse du mal alors que je lui est dit de partir...

- mais maman...

- quand tu avais 5 mois, ton père est arrivé paniqué il y avait du sang partout sur lui, il avait eu un accident de voiture et quelqu'un l'a sauver en lui donnant son sang, j'ai eu du mal à l'accepter mais quand je l'ai fait, il à eu besoin de sang... 2 mois plus tard il est arriver avec un hommes en panique... Il venait de le transformer, c'était taehyung. Il l'as hypnotisé avant que sa transformation soit totalement achevé.

- quoi !?

Ca veux dire qu'il a essayé de sauver la grand mère de taehyung ?

- il l'a hypnotisé pour ne pas quil panique et qu'il fasse tout pour être quelqu'un de bon, taehyung l'est Lucie, c'est un3 bonne personne.

- maman comment tu peux m'avouer tout ça aujourd'hui.

- tu es assez grande et forte pour affronter tout ça Lucie, je pars mais je ne te laisse pas toute seule, tu as ton collègue et la personne que tu aimes

- maman...

Je fondais en larmes, même à deux doigts départir et elle pensais à être juste et accessoirement me parler de taehyung.

- ça va être l'heure ma chérie, rentre dans l'école, je t'attendrais.

- maman...

- vas y ma chérie, je ne souffre plus, je suis heureuse.

Elle souriait et ne pleurais pas, quelque chose me poussait à rentrer dans cette école, tout comme mon première jours de classe.

J'ouvrais les yeux à contre cœurs, ses yeux était fermer, sa peau était blanche, très blanche, elle ne bougeait plus.
La ride au millieu de mon front se forma.
Mes lèvres tramblaient et je me lâchait.

Son existence était présente, sa peau était étincelante et maintenant, rien, plus rien.
Elle était rester digne et fière.

Ma mère avait la solidité du chêne et la souplesse du roseau.Car elle était en effet unique, et personne n'aurait pu l'imiter de son vivant. Elle ne fera que m'inspirer de là où elle se trouve, je saurais également tirer profit de son exemple pour lutter dans ma vies, mais également en me demandant ce qu'elle aurait fait à ma place. J'aurais alors peut-être la chance de la sentir à mes côtés, et de nous sentir accompagnés comme elle me l'a promis.

Un jour je le la reverrais . Je suis sûr qu'elle m'attend attend déjà.

Ce jour de tristesse doit paradoxalement devenir un jour de joie, car ma mère, à eu la vie qu'elle voulait.

Là où elle se trouve, elle a en effet plus de recul, car elle a pris de la hauteur. Une attitude qu'elle avait d'ailleurs déjà de son vivant.
Paix à ton âme maman
A bientôt maman
Je t'aime maman.

J'étais comme paralysé j'étais assise et je regardais dans le vide.
Taehyung s'occupait de tout.
Comment j'étais censé faire maintenant ?

L'odeur des pancakes me faisait monter les larmes.
Je n'arriverais plus jamais à vivre.
Plus jamais je ne pourrais vivre.

- ma belle... Tu vas revenir à la maison, tu ne sera pas toute seule.

Je ochais la tête négativement.
Ma mère n'aurait pour rien au monde quitter cette maison.

Ma mère était partie avec mon cœur, il ne battais plus, j'avais mal.
Taehyung essaya de me porter pour enfin bouger du canapé.
Je n'étais plus moi même, j'étais hanté par la tristesse.
Je me débattais si bien que j'en faillit tomber de ses bras.

Je me laisser tomber par terre.

- pitié...

Il me caressa le visage, effaçant au passage mes larmes qui semplifiait à chaque fois.

- pitié taehyung...

- je suis la ma belle.

- hypnoyise moi !

Je ne pouvais plus respirer, je suffoquais, j'essayais de reprendre ma respiration mais j'avais du mal à la trouver.

- ce n'est pas la meilleure solution d'oublier.

Oublier ?

- je ne veux pas oublier... Je veux que tu m'apaise, que tu m'aide à accepter.

Il me regardait dans les yeux et je fis de même.
Il souria tristement.