Chapitre 8

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Le lendemain, je me trouvais au lac en début d'après midi, le soleil tapait quelque peu sur ma peau pâle, l'air était chaud, mais le vent qui soufflait entre les branches et l'ombre du grand chêne me permettaient de ne pas avoir trop chaud.
Il arriva un peu plus d'une heure après moi, les pieds traînant sur le sol. Il semblait lourd, souffrir de tout les maux de cette terre.
Il c'était assis à côté de moi, j'avais lentement glisser ma main dans la sienne, sa tête lourde de soucis c'était posé sur mon épaule. J'avais donc entreprit la lourde tâche de le soulager un peu, c'est donc de mon autre main que je commença à lui caressé les cheveux, puis la douce peau de son fin visage.
Le temps passa, pas un seul mot n'avait été prononcé de mon côté, ni du sien. Je le poussa légèrement, et enleva mes vêtements il me regardait surpris, mais comprit ce que je faisais quand je sauta dans l'eau.
Et à un moment où mon esprit c'était égaré, la douceur de sa voix me ramena à la réalité, sa voix était aussi douce que ça peau. Les derniers reflets du jour de ce beau printemps dessinaient des ombres sur sa peau encore mouillé. Quelle idée avais-je  encore eu de vouloir aller me baigner dans le lac ? Et quelle idée avait-il eu de me suivre ? La température de l'eau, quand nous y avions plongés, nous avez ramené à la réalité, pourtant, nous étions resté dans l'eau, comme si finalement la réalité n'était pas une fatalité.
Une fois sorti de l'eau, c'est dans ses bras que je suis allée me blottir, j'y suis allée d'une manière si naturelle, il semblait en être ravi. Il avait réussi à m'apprivoiser et j'avais réussie à faire de même.









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