À nos nuits et nos ivresses Bach anales
A nos jours d'encens et nos nuits dans l'sang, rose noires, rouges vermeilles, enchaînée, déchaînées, violentes et violée.
À nos corps qui brûlent et tremblourinent et sentent-re-choc.L'Empire des sens, l'Emprise de tes sens.
J'ai envie d'hurler nos vices et vils sévices.
Sévèrement. De soulever le fouet de nos passions. Il sifflera dans l'air emportant tout sur son passage.Ton cœur, ton cul, et ton âme.
Qu'elle est ferve et sens cent, essence, milles perversités.À l'endroit, à l'envers, par devant, par derrière, surprends moi, suspends toi moi, par les pieds, par les mains, par la chatte, puis les seins.
Enfoncée, défoncée , gémissements saccadés, doigts s'mêlants, des mêlées.
Entêtante, obsédante, perverties, consentantes, constatant une passion, effusion, frustration.
Délivrant, agressif, peaux cédants, place aux vices.J'aimerais que tu te vois et noies à travers mes yeux, boire à ta bouche, que veux tu? Et que tu boites à la mienne, à mes pieds! Être toi et tienne et mienne !
À nos émois, à nous, à toi à moi!À genoux !
Tu tiens les ficelles du jeu, mais tu seras mon pantin, mon objet des plaisirs! Mon autre jet, déplaisir !
Ma Muse adorante, adorer piétiner , si tu m'adores tu t'adoreras, petite ombre flemmarde, devient tout feux tout flamme, je veux tes larmes, tes cris, tes soupirs.
Je te sublimerai, suppliant objet, supplie moi, oublies toi.Arraches toi et donnes moi tout!
Un bout de ton cœur au creux de mes mains, un bout de ta chair au creux de mes reins.Et si un jour tu doute , offres moi tes douleurs, tes doux mots , tes douce'heures, douceurs, doucement, murmure les à mon oreille.
À quatre pattes, sous ma botte ou dans ton cul.
Je serais ton Paradis et tes Enfers. Punitions à l'unisson, récompenses à profusions. Veux tu fusé fusionner ?