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Pas de cris sur la Mer. Ou peut être que si. Si.
Les mots pour la décrire n'existent pas.

À travers elle , je revis.
Mon âme est scindée en milles morceaux, milles monceaux, du verre ou de la pierre, des rochers, des menhirs?
Et la voilà. Je me sens Fée Nix. Tout est beau, tout à un sens, la Mer.

On vit, on meurt, je ne sais plus.
Je vis dans la Mort, je meurs dans la vie. Facile
L'eau, la Terre , le Feu.
L'eau et le Feu. L'eau est le feu.
Putain, je m'y noies à travers Elles.

Putains et Amantes. Amiantes.

Les vagues me trance portent au delà du Monde. Le Monde n'est rien 

Chacun sa Vénus ou sa Gaïa .

Chacun son Hydre Ol'. (Laide pâle).

La mienne n'est que Océan.

Ses abysses m'apellent, les vagues murmurent des chants marins.

Viens, me disent elles.
Approche , plus près, encore, en corps, mêle toi à nous, mêle toi à toi.

Les sirènes apparaissent. Ulysse n'a qu'à bien se tenir.

Douces femmes, mi femme mi poisse.

J'ai le coeur léger, les vagues ont bouffées ma Rage.

Je me mets même à sourire, quel Joker!

Le corps des femmes allongées sur ton sable, me donnent des idées grivoises.

La Femme et l'Océan. L'hydromel du marin.

J'ai plus les mots, les maux. J'aimerai être Mer, bouffer , noyer ses corps qui viennent en Toi.

Merde. Les Ôdes à la mer n'existent pas, ou je ne sais pas, mais Tu es ma plus belle histoire d'amour.

Sans NomOù les histoires vivent. Découvrez maintenant