-CHAPITRE II- * Do everything to survive against the boy*

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Je m'allonge dans mon lit, ma mère ne fini qu'à dix-huit heures. Une douleur vive revient. Aussi rapide qu'il soit, je vais chercher des glaçons dans mon congélateur et prends un gant de toilette pour que je puisse les déposer sans que qu'ils ne soient trop froid.
La douleur s'apaise au bout de quelques minutes et automatiquement je m'allonge sur le dos. Un bruit en bas me réveille en sursaut.
Je me dis que c'est peu être ma mère mais elle a pris ses clé alors je descends pour vérifier et remarques ( ou plutôt entends) que les bruits viennent de dehors. Je m'empares de mes clés accrochées sur le porte-clés, je l'insère dans la serrure. J'ai eu à peine le temps d'atteindre la poignée, que quatre hommes entrèrent .
Un des hommes me retient par les bras.
Avant de dire quoi que se soit je les examina, ils étaient tous vêtus de cagoules noires.
« Qu'est-ce vous foutez chez moi, fichez le camps d'ici ou j'appelle la police! » crie je de toute mes forces
« La police ne viendra jamais pour un problème de bonne-femme » me corrige une des personnes présentes devant moi en ricanant.
Juste avant que j'ai le temps de dire un mot de plus qu'une main me cacha la vue et la bouche.

C'est pas normal qu'ils te fasse ça, surtout de rentrer chez toi par effraction, tu dois montrer de quoi tu es capable jeune fille dit une voix dans ma tête
Ta raison.

Sans réfléchir,je jeta mon pied en avant pour que j'ai assez d'élan pour arriver jusqu'à la personne derrière moi.
Ma chaussure arriva dans son ventre, il lâcha un cris de douleur.
« Haaaaa! P*TAIN! AÏE! LA GAMINE M'A FOUTU UN COUP DANS LE BIDE ! » prévient-il en me criant dans les oreilles
« Je ne suis pas une gamine » je justifie avec un grand sourire
Je courus pour voir ce qu'ils voulaient prendre: LES ÉCONOMIES À MAMAN !
Je me faufila entre les corps telle une petite souris et attrapa des mains d'un des cambrioleurs, le porte feuille et courus dans ma chambre pour m'enfermer.
Dans la maison, il n'y a que ça " d'important" .

Je chope mon portable, je compose le numéro des policières.
« Bonjour dit une voix douce, que puis-je faire pour vous »
« Bonjour quatre hommes sont entrés chez moi » dis je tremblante
« D'accord, que voulaient  t'ils prendre? » continua la femme
« Ils voulaient partir avec toutes les économies de ma mère » explique-je
Des coups de coudes résonna dans ma chambre.
« Pas de soucis, encore quelques questions où sont t-ils ? Que font-ils ? »
« J'ai fermé ma chambre à clé, ils essayent de rentrer » dis je sur le point de craquer.
« Ne vous inquiétez pas nous allons arriver, votre adresse s'il vous plaît »
Je donne mon adresse à la policière et après tous s'est enchaîné très vite. Finalement les garçons-braqueurs ont réussis à rentrer, j'ai eu le temps de cacher le porte- feuille, et c'est abattu sur moi, une tempête de coup:
« Tu nous dis où tu as caché le porte feuille ou tu vas mourir aujourd'hui espèce de petite sotte » m'ordonna le plus petit
« JAMAis... » riposte je avec tout la force qui me restais .
Puis les policières sont débarquées.
« AIDEZ MOI JE SUIS LA H » une main s'abat sur ma bouche
De ma chambre le bruit des chaussures résonnaient comme un écho.

Je sors de mon sommeille réveillée par quelques rayons de soleil et ma mère assise à côté de moi :
«  Ma chérie ça va ? » me dit elle
« Oui ça va mieux » dis je avec soulagement, le battement de mon cœur s'est ralenti.
« Maman? »
« Qu'est ce qui il y a ! Ta mal ou? » s'affole t'elle
« Maman je me suis défendue, j'ai... j'ai sauvée tes économie » dis je fière mais stressé de sa réponse
«  OUAIS! MA FILLE S'EST BATTUE CONTRE QUATRE GARS !!! » crie t-elle
Nous parlons quand une policière traverse le séjour pour nous rejoindre dehors.
« Bonjour, j'ai pas toquée désolée » dit elle
« Tu n'as pas à t'excuser » corrige ma mère avec tellement de gentillesse
« Victoire tu as été très courageuse » me félicite la policière
Comment elle connaît mon nom
« Merci »
« Vic, commença ma mère, enfaite Mélanie en face de toi c'est ma meilleure amie » m'informa elle
J'ai le sourire jusqu'au oreilles.
« Enchantée Mélanie » dis je  avec enthousiasme
« Enchantée de même, enfaite, nous nous connaissons depuis notre enfance mais depuis le système... , dis t-elle avec une pause, on nous a interdit de nous voir mais j'ai déménager à côté de chez vous alors... »
« ON POURRA SE VOIR SOUVENT? » je m'exclame
« Oui ! » dis t'elle en rigolant
« Pour en connaître un petit peu plus sur toi, tu fais du sport? » me questionne t-elle
« Heu non j'en fais pas et  je préfère pas » je répond
« Moi avant de faire mon métier, je faisais des sport de combat, ça m'a permis de reprendre confiance en moi » dis Mélanie avec fierté en levant la tête vers le ciel.
D'un coup (inattendu) ma mère ce lève, saisi le bras de Mélanie par le coude et elles s'installent un petit peu plus loin. Je vois Melanie acquiescer de la tête. Elle se lève se dirige vers la porte mais avant de sortir, elle s'arrête et me salue de la main et je fais de même.

Quelques jours après,

J'ouvre mon ordinateur, pour regarder essentiellement mes mails que j'ai pu recevoir, et mon attention se porte surtout sur un mail, je cliques dessus:

Bonjour Mademoiselle Victoire Stilton,

C'est Sarah, je suis la directrice de la Gendarmerie de ENGLEWOOD. Je viens vers vous pour vous prévenir que le rendez vous au tribunal n'est pas possible. Le gouvernement nous l'interdit mais ils payeront une certaine somme.
Vous devrez être déçu moi aussi.

Tous mes soutiens,
Sarah Dubois.

Je lâches mon cris le plus fort que mes poumons sont capables. Je descends le plus rapidement possible et balance tout à ma mère.
« C'est pas normal, je suis désolée ma chérie »me console t-elle
« Et au pire,ils vont payés pour notre quartier » dis je contente
« Combien? »
« Je sais pas mais Sarah a écrit dans le mail, " ils payeront une certaine somme" »

Après avoir bien mangé, je monte dans ma chambre pour lire un livre, mon portable qui est dans ma poche vibre. Un message de Emily,
- Vic aide moi! JE SUIS ATTTAQUER PAR DES GARS, ils vont me tuer, AIDE MOIIIII!!!!
- EMI t'es où j'arrive!!
- Dans une ruelle entre notre quartier et le leur !
- Emi j'arrive, ça va ?
-Emi répond
-Tu me fais peur !

Je me dépêche de sortir et de prendre le moi de temps possible.
« Vic tu vas... » me demande t-elle
Je ne lui répond pas, pas de temps à perdre. J'arrive au carrefour, j'entends des cris.
« Emi ! Emi! Je suis là Emi !!!!
Aucune réponse
« Viccccc!!!!!!!!  JE SUIS LA AIDE MOIIII!! » me crie t-elle ( plutôt hurler)
« J'arrive tiens bon! » je lui impose
Et la cherche rapidement des yeux et je la fixe, le visage en sang, le mascara qui dégouline.
Je m'interpose entre elle et les agresseurs, je l'ai reconnais. Les garçons qui nous ont insultés.
« Vous en avez pas marre de faire chier!! » je hurle
« Casse toi d'ici, sale gamine! » m'injures t-il
Je fixe chaque paire d'yeux qui me scrutes derrière lui.
TOBIAS! Il est là, il fait rien mais il est là, il rit.

Je le dévisage de haut en bas, je m'arrêtes sur ces mains: Elles sont en SANG.
Je me rappelle de ce qui m'a dis :
« Je ne suis pas d'accord avec le système »
Faut vraiment que j'arrêtes de faire confiance aux gens de sexes masculins.
Je rejoins ensuite Emily qui baigne dans son propre sang.
« Comme ça elle arrêtera de porter des robes provocantes » crache un autre garçon du groupe.
J'entends la voix d'Emily qui essaye d'articuler quelque chose de sa voix tremblantes:
« Vic c'est... aïe... c'est ma fauutee... je... suis désolée »
« Arrêtes de t'excuser, c'est eux, la rassures je en pointant du doigt c'est imbéciles, c'est eux qui sont CONS ET PAS OUVERTS D'ESPRITS »
« Hé la commère on se... » débute t-il
C'est là que la vraie colère monta en moi, je me lève, le rouge aux joues, je le prend par le col de son polo et les mots sortirent tous seuls de ma bouche :
« Mr. le ptit con va fermer enfin sa gueule et va casser cette foutu ruelle avec sa bande de bras cassés  ou il va se prendre mon poing et pareil pour ses espèces de potes. J'espère que j'ai bien articuler pour Mr et que tous soit rentrés dans sa petite tête de moineau »

Sous ma main, je sens son corps trembler.
« Poooo! » piaille un de ces amis
La colère toujours présente, je m'avance vers lui, je n'avais pas envie de refaire mon (beau) discourt, et c'était très claire si quelqu'un parle il se prend mon poing, je serres les doigts et mon coups parti tout seul.
« Aiieeee! » souffre t-il
Et là je m'en pris un aussi, j'ai aucune chance de le vaincre. Je resta là par terre, saignante. J'entendais les gars contents de leur coups, des bruits de mains qui se tapes, percutent les murs pour arrivés jusqu'à nous. Emi, sûrement remise de ce qui lui est arrivée, vient me rejoindre mais au lieu de pleurer, on s'est mises à pleurer de rire. Une ~super~ idée me viens:
« Emi, ça te dis de faire un sport de combat? » je l'interroges
«  Vic, t'es une génie » me félicite t-elle
Puis nous rentrons chez nous.
Quelle journée !

Voici le chapitre 2, j'espère qu'il vous a plu! A plus pour le prochain chapitre.
L

FOR FREEDOM-TOME 1 ( EN CORRECTION )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant