Son étoile

Chapitre 1 ✔️

Black

Après mettre chargé des caméras de surveillance et je fonce vers la prison royale. L'alarme retentit pour signaler la disparition de ce blaireau de roi mais je ne m'en préoccupe pas. La porte d'entrée est ouverte et je peux voir une dizaine de soldats sortir par celle-ci afin de chercher le roi dans le château.

Je m'infiltre dans le bâtiment. Il n'y a pas un chat à l'entrée alors je passe par dessus le comptoir pour savoir où est mon frère. Je cherche à travers une vingtaine de dossier puis je trouve celui qu'il me faut. Il se situe au deuxième étage alors je me retourne vers la pancarte derrière moi pour lire les indications.

Je dois prendre le couloir de gauche pour rejoindre l'ascenseur. Je ne vais pas m'amuser à monter les marches alors que je peux faire une entrée théâtrale digne de ce nom. Je passe par dessus le comptoir puis je rejoins l'ascenseur. Je clique sur le bouton, j'attends quelques minutes avant d'entendre un petit tintement pour signaler l'arrivée de l'ascenseur. Je m'engouffre dedans puis j'appuie sur le bouton numéro deux.

Les portes s'ouvrent sur un long couloir lumineux. Je sors de la boite métallique puis j'avance doucement car des gardes peuvent arriver à tout moment. Le bruit de mes talons claque à travers le silence. Une voix sonore m'interpelle à travers ma quête.

-Madame ! Que faîtes vous ici ? Me demande un gardien

Je me retourne vers lui et je cherche n'importe quelle menace sur lui. Il n'a que sur lui une matraque et d'un Pamas G1. Le combat va être simple et rapide mais je cris victoire un peu trop tôt car deux autres gardiens sortent de l'ascenseur puis ils pointent leur arme sur moi lorsqu'ils sortent du compartiment.

-Pardonnez moi mais je me suis perdue. Leur dis-je en prenant une voix innocente
-Vous êtes dans la prison royale. Vous n'avez pas le droit d'être ici ! Me dit durement le premier garde que j'ai rencontré

Ils s'avancent tous vers moi, les armes toujours pointées vers moi. Je lève les mains tout en avançant vers eux. J'avance très lentement et je peux voir l'agacement dans leurs regards. Une fois devant le meneur du groupe, je me place devant lui puis, en deux mouvements,  je le désarme. Par la suite, je l'assomme d'un coup de crosse, don corps tombe d'un bruit sourd à nos pieds.  Le deuxième homme se rapproche de moi rapidement afin de me maîtriser mais je lui donne un coup de poing à la gorge. Le coup lui coupe la respiration pendant quelques instants puis il se met à tousser violemment.

Deux bras s'enroulent autour de moi alors que j'allais donner un autre coup à son coéquipier. Alors qu'il resserre sa prise autour de moi moi, je balance ma tête pour percuter la sienne et le craquement, que j'entends, me confirme que je lui ai bien cassé. Il gémit de douleur en se tenant le nez ensanglanté.

Je me retourne rapidement vers mon autre adversaire, qui a repris ses esprits entre temps, pour lui donner en coup dans l'abdomen, sa respiration se coupe de nouveau face à la puissance donnée dans le coup puis j'en profite qu'il soit courbé pour lui faire un uppercut. DEUX DE KO LES AMIS !!

Je remarque que mon corps est correctement positionné pour donner un coup de pied en pleine face du gardien. Il me facilite les choses en se retournant vers moi. Il n'a pas vu le coup venir, le pauvre. Sa tête percute le mur en plein fouet et il s'écroule par dessus ses deux collègues. Je me penche vers les corps pour attraper la carte magnétique, qui permet d'ouvrir les portes des cellules, accrochée sur le chef de service inconscient.

        
-Les mains en l'air ! Immédiatement ! M'ordonne une voix derrière moi

Je récupère quand même la carte en la gardant dans ma main avant de me relever. Je me retourne vers celui, qui va rejoindre les trois autres au sol. Je suis face à un blondinet assez grand, il doit frôler le un mètre quatre vingt quinze. Je dois avouer que ses yeux bleu sont magnifiques. Bref ! Il portait une chemise blanche, qui épousée parfaitement son corps musclé, dont ses manches sont retroussées et un pantalon de costume noir. Il doit être l'un des invités de la réception mais son arme entre les mains m'indique qu'il n'est pas un PDG ou un aristo.