Le renvoi

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Marella marchait en direction de sa classe sans se préoccuper des personnes qui s'écartait sur son chemin. Ce matin dans don casier elle avait trouvée une fiole contenant le remède pour sa mère et un mot lui disant de rester en cours cette journée, pour calmer les choses. Or, Marella ne voulait pas attendre la fin de la journée pour donnée cette potion à ça mère. Elle s'inquiétait de plus en plus, espérant que sa mère ne fasse pas de crise ou qu'une journée de moins à entraîner son corp pour recevoir un nouveau talent ne serait pas un poids.
-Marella! Cria Sophie pour la énièmes fois. Marella tourna sa tête vers elle.
-Oui? Demanda-t-elle.
-Tu bloques le chemin! Répondit Biana sur un air de reproche. Perdue dans ses pensées elle s'était arrêtée au milieu du couloir. De quoi avait-elle l'air?
-Excuse-moi, s'exclama Marella en se décalant. Puis Sophie repris la parole:
-Quelqu'un est venu chez moi hier, et j'ai cru te voir, c'est toi qui a pris les fleurs de panacier ?
-Chez toi?! J-je n'ai aucune idée de qui ça pourrait être tu as du te trompée!
-Pourtant, la personne te ressemblais beaucoup, avec ses nattes dans les cheveux! Marella tritura une tresse nerveusement. Et s'apprêtait à répondre quand on l'appela:
-Mademoiselle Redek! Elle se retourna et vit un professeur. Vous devez vous rendre chez le principal. Inutile de demander pourquoi, elle prit le papier et s'en alla.
-Quand penses-tu ? Demanda Sophie.
-C'est elle. Répondit Biana, Ça na fait aucun doute!

Marella frappa à la porte du principal:
-Entrer! Bonjour Marella, dit-il quand il la vit rentrée, prenez place. Marella s'assit sur un fauteuil à côté de celui qu'avait pris Kudo. Le principal prit la parole:
-Vous savez très bien que dans cette établissement nous ne tolérons pas la violence, il adressa un regard appuyé à Marella, mais au lieu de vous punir sans essayer de comprendre pourquoi vous avez commis cette acte, nous allons vous demandez, à chacun, de raconter sa version des faits, Kudo je vous pris.
-À la sortie des cours je suis aller voir Marella pour lui demandé de faire un devoir ensemble. Elle ne m'a pas répondue, donc je lui ai demandé si elle était énervée et la elle m'a frapper! Marella était outrée, dans son récit il n'y avait pas un semblant de vérité!
-C'est faux! S'époumona Marella.
-Calmez-vous Mademoiselle Redek. Raconter nous votre histoire.
-Tout d'abord je tiens à dire que je ne regrette pas mon acte, je me demande même pourquoi je ne l'ai pas fait plus tôt. Je sais que je m'enfonce mais je ne vais pas mentir et dire que je suis désolée et que je ne sais pas pourquoi j'ai fais ça. La réalité est que j'étais dans le couloir et Kudo est venu se moquée de moi, comme à mon habitude je l'ignorais. Puis il a fait l'erreur de parler de ma mère et là je l'ai frappé.
-Bien, Mademoiselle Hecks. Stina rentra. Qui a menti?
-Kudo a menti. Déclara Stina.
-Non! C'est faux, Stina dit n'importe quoi! C'est son amie, donc elle la protège! S'époumona Kudo.
-Le faites que tu mentes se sent à des kilomètres, s'esclaffa la jeune empathe.
-Bien merci de votre participation mademoiselle Hecks. Mademoiselle Redek vous évitez de justesse le renvoie, mais vous écopée trois heures de retenue pour la violence et cinque pour les journées manquées et vous Kudo deux heures pour violence verbale. Marella grimaça et ils prirent congés.

 La peur sur les épaules.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant