Les épreuves d'une opprimée🖤(En Cours)

Chapitre 16

Moi: Quand la vie te mets des coups bas, il ya deux options qui s'offrent à toi.
Soit tu abandonnes, et tu deviens faible avec des regret.
Ou Tu te relèves, tu encaisses et tu cognes plus fort pour devenir un model pour les faibles.
       
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(Dans la peau de djènè)

A l'hôpital, toujours dans l'attente,  le médecin s'avance vers moi et m'annonce que la patiente est réveillée.
Vue qu'il n'ya personne et que bizarrement l'envie de la voir me chauffe le coeur.
Je vais dans la salle que le docteur ma indiqué.

Arrivée à l'intérieur, je la trouve couchée toute belle, et pâle avec une peau tellement lisse et tellement jolie.

(Dans la peau de djamilla)

Couchée sur mon lit d'hôpital, je vois cette femme rentrée avec son allure de confiance en soit.
Dès je l'es vue, j'ai directement compris que c'est la femme de Mustafa.
Sur le champ mon coeur commence à battre, mon rythme cardiaque accélère, ça ce voyais d'ailleurs sur la machine.

Elle: Salam Aleikoum koum.

Moi: Waleikoum salam.

Après le salam, un silence de deux ou trois minutes s'installe dans la salle.
C'est pas tout les jours on voit la cause de notre tentative de suicide se présenté en face de nous.

Je baisse le regard, Mille et une question me passe par la tête.
Je garde mon calme, et je reste sereine.

Elle: Tu vas mieux j'espère ?

Moi: Oui!

Elle: Mustafa....

Moi: Je ne veux rien savoir.

Elle: D'accord, mais je tiens à te dire qu'il n'ya rien entre ton mari et moi, apart le fils commun que nous avions eu.

Moi: D'accord, bonne journée.

Suite à ma phrase, elle sort de ma salle en s'excusant du dérangement.
Quant à moi, je jette tout ce qui était à côté de moi.
Non mais comment ose t'elle jeté des mensonges sur ma face? Pense t'elle que je suis naïve ?

(Dans la peau de djènè)

Mon Dieu qu'est-ce que j'ai fais ? Va t'elle pensée que je suis une forceuse ? Ou que je prépare un mauvais coup ?

(Dans la peau de Fatima)

Après son long discours que j'ai captée phrase par phrase, mot par mot et lettre par lettre, je relève ma tête, et je décide de répondre.

Moi : Une personne qui a tout, qui fait ce qu'elle veut, quant elle veut, où elle veut, raisonne certainement comme toi, mais une personne qui na absolument rien, qui porte poisse à tout ce qu'elle touche reste dans l'ombre pour ne pas semé la destruction.

Amir: Tu ne comprends rien à la vie Fatima...

Comment un gars comme lui peut me dire que je ne sais rien de la vie?

Moi: Peut-être que tu as raison, mais ce qui est sûr, toi non plus tu ne connais absolument rien de mon vécu.

Amir: Peut-être oui, et j'aimerais bien en savoir plus sur toi.
Mais est-ce que ça vaut le coup de vivre une vie sans rêve ? Est-ce un bon comportement de se mépriser? Ça vaut vraiment le coup de sentir autant de dégoût sur sa propre personnalité ?
C'est peut-être vrai que tu es une victime de la vie, mais est-ce que tu apprends de tes défaites ?

Moi :............

Amir: Pour moi le vrai fantôme n'est pas une âme sans corps, mais un être sans personnalité, et...