Les épreuves d'une opprimée🖤(En Cours)

Chapitre 6

Les épreuves d'une opprimée🖤

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(Dans la peau de Karim)

Cela fait 14ans que je vis sans père, 9ans que Fatima à perdus ses parents, 4ans que mère est gravement malade, et 1 jour que mon père m'a recontacté à travers les réseaux sociaux, je ne sais pas comment il a eu mon profil, mais en tout cas, il m'a laissé des messages sur Messenger, chose que je n'es pas encore expliqué à ma mère par peur d'empirer son état.
Mais bon, j'aurai une petite conversation avec Fatima, histoire d'avoir une petite idée sur quoi faire.

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J'appelle pour prendre ses nouvelles, elle m'explique ce qui lui ai arrivée, et vraiment cette famille est très monstrueuse.
Assis avec ma mère, je reçois un message sur Messenger, là c'était pas celui de mon père, mais d'un autre monsieur maghrébin.
Je me déplace.

Le Message 📩

Salam champion, j'espère que tu vas bien. Je ne sais pas si tu te rappelles de moi vue que tu étais très petit quand j'avais quitté le pays.

Moi📩  Oncle Said?

Oh mon oncle said, il est le seul qui m'appelle champion, je me rappelle bien que lui il avait quitté le pays avant mon père.

Sur le moment, il m'appelle.
Je décroche.

Moi: Allô oncle Said.

Oncle said: Mach'Allah, mon champion n'a pas oublier son oncle préféré et cela me fait énormément plaisir.

Moi: Qu'est-ce que tu veux oncle ?

Oncle Said: Avoir une discussion avec mon neveu préféré.
Ton père est....

Moi:  Après 14ans? Je crois qu'on a rien à se dire non?

Je raccroche avant qu'il ne dise quoi que ce soit.
J'étais sur le point de le bloquer quant-il m'envoie un message.

Oncle Said📩 Ecoute champion, ton père est gravement malade et il ne cesse de te réclamer.

Moi📩 Mon père est mort il ya 14ans de cela.

Oncle Said📩 Ne raconte pas n'importe quoi, Je sais que rien ne justifie le fait qu'il vous.....mais là il est gravement malade.

Moi: Rien à foutre.

Oncle Said : Je serai dans ton pays demain inchallah, si ton oncle ne te manque pas, rassure toi que moi tu me manques énormément.
Dès que je mettrai pied au pays je t'en verrai l'adresse d'un restaurant où on va se rencontrer, donc à toi de voir si tu vas planter un pauvre monsieur qui traversera vent et maré pour voir son fiole.

Moi: C'est non, ne te fatigue pas.

Oncle Said : Je serai là en tout cas.

Après une courte discussion avec oncle Said, je rentres dans la chambre de ma mère pour voir son état.
Plus je la regarde, plus je me rend compte qu'elle a perdu beaucoup de kilos, je m'assois à côté d'elle et je me mets à masser ses pieds.

Maman : Dieu te récompense mon amour de fils.

Moi: Amen maman.

Maman : Comme je disais la dernière fois, pense à ta relation avec Fatima, c'est une fille bien.

Moi: Oui maman, je l'aime énormément, mais j'ai peur qu'elle me voit comme un simple frère.

Maman : Comment tu pourras connaître ses intentions si tu ne l'avoue pas tes sentiments.
Tu sais, ton père et m...