Chapitre 12

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Les épreuves d'une opprimée🖤

?!📲 Parfait.

Cela me paraît trop beau pour être réel, si ce contrat est réel, cela signifie que je n'aurai pas de problème de transport sur le marché international.

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(Dans la peau de Karim)

Le détective me confirme le rendez-vous, et je fais pareil avec Fatima.
J'appelle papa et je lui expliques toute la situation, il me rassure de compter sur lui au cas où Amir me demande des documents concernant l'entreprise.
Quant à ma mère, elle ne cesse de me donner sa bénédiction et m'a fait promettre de ne pas y retourner sans sa Fatima.

(Dans la peau de Mustafa)

Je ferai n'importe quoi pour les rendres heureux, même si je sais que certaines personnes seront anéanties après ma mort.
Ma fille Aisha surtout, depuis qu'elle a apprise la nouvelle, la pauvre, elle passe tout son temps à pleurer, chose qui me fait énormément mal.
Quant à djamilla, comme me l'avait conseillé djènè, je vais à sa rencontre.
Arrivé à la maison, safiã me fait comprendre que sa mère est allée à hammam pour son bain.

Safiã: PaPa j'ai besoin d'argent pour des courses.

Moi: De combien exactement ?

Safiã : 1000DH (94€)

Je sors l'argent et je lui donne sans posé de question, ce qui n'est pas dans mes habitudes.

Safiã: Atan tu ne vas pas me demandée ce que...

Moi: Fais en ce que tu veux ma fille, mais un jour inchallah tu comprendras que tout que je faisais était dans ton intérêt.

Elle me regarde intensément, quant à moi, je rentre dans ma chambre sans dire un mot de plus.

(Dans la peau de djamilla)

Après mon bain de hammam, la femme  de Said Asma me propose de faire un tour dans un salon de beauté pour me rendre belle, vue que récemment le stresse commence à prendre dessus sur moi.

Asma: Tu as des cernes ma sœur, dis moi ce qui ne va pas? Regarde toi, tu es pâles.

Moi : Je t'embête tellement avec mes problèmes que je n'es plus envie de te dire quoi que ce soit.

Asma: Ne raconte pas n'importe quoi, tu sais très bien que je serai toujours là pour toi.

Suites à ses dires, je lui racontes tout ce qui ce passe avec Mustafa, sans oublier mes inquiétudes.

Asma: C'est vrai que je n'ose pas imaginée ce que tu traverses en ce moment, mais tu dois essayer d'avoir une conversation avec ton mari et surtout ne raisonne pas sur l'avis de la société, mais sur ce que Dieu pourra penser de toi, puisque c'est le plus important.

Moi : Comment discuté avec une personne qui ne fait pas des efforts, un mari qui n'est jamais présent (En larmes)
Et rassure toi ma sœur, s'il décide de vivre avec cette femme, inchallah moi je demande le divorce.

Asma : Soit forte, inchallah tout ira bien, de mon côté je vais essayer d'avoir plus d'infos sur cette  femme et son fils au-près de Said.

Après mes soins, je rentre à la maison.
A ma grande surprise, je vois Mustafa assis dans la chambre entrain de fixer la porte de rentrer.
Dès qu'il ma vue, après un salam, il m'a enroulé dans ses bras.

Confuse, je lui demande en quel honneur, vue qu'en 14ans de mariage, cela fait la deuxième fois en dehors de l'intimité qu'il me tient avec beaucoup d'affection.
La première fois c'était quand j'ai eu les jumelles, la deuxième fois c'est aujourd'hui.

Les épreuves d'une opprimée🖤(En Cours)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant