3 vacuite et vanite premiere partie

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Le monde civilisé est le résultat des efforts originels pour surmonter leur peur de l'isolement que l'on appelle « instinct grégaire ». Cela ne suppose pas forcément une affection mutuelle, et l'état tumultueux présent dans certains groupes ethniques illustre bien les conflits que traversèrent les premières tribus de nos ancêtres. Bien que les membres d'une société puissent s'opposer et se combattre, et bien la civilisation elle-même puisse apparaître comme un ensemble désordonné de tentatives et de luttes de clans, elle en démontre pourtant un effort soutenu de cohésion social, et non la stagnation mortelle de l'inertie stérile.

Le niveau de l'intelligence humaine a fortement contribué au rythme de la progression culturelle, mais la société a pour but fondamental de diminuer les risques dans le mode de vie individuel. Elle a progressé à l'allure même où elle a réussi à diminuer la souffrance et à augmenter le plaisir dans la vie. C'est ainsi que la société toute entière avance lentement vers le but de sa destinée, la survie ou la disparition, selon ses objectifs sont la préservation du moi ou le plaisir égoïste. La préservation du moi fait naître la société, tandis que l'abus des jouissances égoïstes détruit la civilisation. Une société s'occupe de se perpétuer mais l'épanouissement de soi est vraiment digne de devenir l' objectif humain primordial des différents groupes culturels.
L'instinct grégaire de l'homme primitif ne suffit pas à expliquer le développement de société semblable à celles qui existent de nos jours sur terre. Bien que ce caractère inné soit à la base de la société humaine, une grande part de la sociabilité de l'homme est une acquisition récente. Les deux grandes influences qui contribuèrent aux associations primitives d'êtres humains furent la faim et l'amour sexuel, pulsions instinctives et vitales que les hommes partagent avec le monde animal. Deux autres sentiments ont rassemblés les êtres humains et les ont maintenus rapprochés, la vanité et la peur 😨, plus particulièrement la peur des esprits fantômes.

L'homme est le compte rendu des luttes millénaires de l'homme pour sa nourriture. L'homme primitif ne réfléchissait vraiment que lorsqu'il avait faim ; économiser de la nourriture fuir sa première réflexion, son premier acte de discipline. Avec le développement de la société, la faim cédas d'être la seule raison d'association. De nombreuses autres sortes d'avidité, le désir d'assouvir des envies diverses constituent l' humanité a s'associer plus étroitement. Mais la société contemporaine est déstabilisée par la croissance excessive de prétendus besoins humains. La civilisation occidentale du 21e siècle sensible sous l'énorme poids mort de la multiplication désordonnée des besoins et des désirs humains de consommation. La société subit aujourd'hui la tension d'un des cycles les plus complexe d'inter association et d'interdépendance économique a l'échelle mondiale.

La pression de la faim, de la vanité et de la peur des fantômes était constante, mais celle des besoins sexuelle était temporaire et sporadique. A lui seul, le désir sexuel ne contraignait pas les hommes et les femmes petites a supporter les lourdes charges de l'entretien d'un foyer. Le foyer primitif était fondé sur l'émois sexuel du mâle nécessitant des satisfactions fréquentes et que le profond amour maternel de la femme qu'elle partage, généralement avec toutes les femelles de tout les animaux dits supérieurs.

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