Paradoxes Bibliques

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Dans la Bible et la tradition hébraïque, la sexualité est bénéfique, la voiture elle a été créée et voulue par Dieu. C'est à travers elle que l'homme et la femme ont assuré la pérennité de l'humanité. L'Ancien Testament n'a pas de croyance en la survie personnelle de l'individu qui ne peut s'immortaliser qu'à travers sa descendance.

La conception que la tradition biblique se fait de l'être humain, n'est pas dualiste comme celle du monde grec. L'être humain est un tout indissociable, corps-âme-esprit. Il n'y a pas d'âme qui survit à la mort, comme chez les Grecs ou qui se réincarnerait, comme dans les traditions orientales. Ce n'est que tardivement que la culture biblique développera une croyance en la résurrection des morts. On ne doit pas confondre cette résurrection avec la réincarnation orientale ou l'immortalité grecque de l'âme. La résurrection n'est pas un acquise mais plutôt une promesse de Dieu tout puissant qui peut ressusciter ceux qui sont morts selon sa propre volonté divine.

Dans le monde biblique, la sexualité, est par contre comme une menace à la puissance absolue de Dieu qui fonde Identité du peuple d'Israël contre ses puissants voisins encore marqués par la sexualité sacrée (Yahweh contre Baal). Elle sera contrôlé par des règles morales et religieuses très précises et violemment combattues dans sa prétention à être une voie d'accès vers le divin.

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