Chapitre 6

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Abigail

J'ouvrais les yeux dans ma chambre, elle n'était plus dans mon lit avec moi. Je sentais le vide que l'absence de corps causait. Mais son odeur était gravée dans mes draps. Je regardais le réveille matin qui indiquait neuf heures trente du matin. Elle était encore là, son jean était toujours poser sur mon fauteuil rouge comme nous l'avions mis hier. Une odeur de café et de pancakes me montait au nez. Légèrement dans les vapes, je me lève du lit et j'attrapais un gilet bleu et l'enfila. 

Je sortis de ma chambre, elle était dans la cuisine, elle faisait des pancakes concentré sur la poêle

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Je sortis de ma chambre, elle était dans la cuisine, elle faisait des pancakes concentré sur la poêle. Je m'approche et entour son corps de mes bras. Son odeur m'envoutait totalement. Je posai mes lèvres dans son cou car ses cheveux étaient attachés en chignon.

- Bonjour marmotte, murmure-t-elle

- Bonjour mon amour...

Elle souriait et entoura mes mains des siennes. D'un coup, elle se tourna pour me faire face. Elle me fixait dans les yeux et me fit un sourire. Lentement, elle posa ses lèvres sur les miennes. Ses lèvres avaient le gout de café et de caramel que je trouvais tout bonnement parfait. Son odeur était un mélange de cake au citron que les grands-parents aimaient faire et de parfum de luxe. Elle décroche ses lèvres des miennes et me regarde.

- Tu as vu mon père ? demandais-je

- Non, je n'ai pas croisé ton père, il dormait encore quand je suis partie courir et il était déjà partie quand je suis revenue.

- Tu es allée courir ? Waw, tu es étonnante...

- Je cours tous les week-ends puisse que je n'ai pas d'entrainement.

Je me défais de son étreinte et attrape un mug dans le placard.

- Ce n'est pas la peine.

Elle me tend un mug remplit de café et me lance un sourire. J'étais époustoufler, il était évident que je ressentais de fort sentiments pour elle, des sentiments vraiment difficile à contrôler. Elle me plaisait physiquement et sa personnalité était tout ce que je recherchais. Elle aimait prendre le contrôle des choses et elle adorait faire plaisir aux gens qu'elle aimait, mais j'avais l'impression qu'il me manquait une partie d'elle que j'avais envie de connaitre.

- Reste avec moi aujourd'hui ! sortis-je sans réfléchir

- Je dois aller voir mes frères et sœurs, on doit parler de quelque chose d'important vis-à-vis de... mon père...

Elle me mentait, je savais qu'elle me mentait parce qu'elle avait un tic. Elle se passait la main dans les cheveux. Je fis comme si je ne savais pas qu'elle mentait et renchérit.

- Aller, juste jusqu'à midi, on mange ensemble hors d'ici et tu rentres chez toi.

Elle tentait de trouver un autre mensonge mais elle n'en n'eut pas alors elle acquiesça. Je voulais comprendre pourquoi elle mentait mais un jour, je pourrais surement le savoir. Certaine chose était difficile à dire, je pouvais comprendre qu'on puisse le cacher.

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