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Albus Dumbledore

Allonger sur son lit, les yeux fermés, la respiration calme. Quiquonque serait entrée dans la chambre d'Albus Dumbledore à cet instant aurais pus croire qu'il dormais ou réfléchissais calmement à ce qu'il allait manger le soir même.
En réalité, Albus s'efforcé de rester calme et d'ignorer la douleur lancinante dans sa tête. Trop d'événements avais eu lieu en trop peu de temps.
Albus Dumbledore avais 18 ans mais son parcours professionnel était déjà bien remplie :Étant l'un des élèves les plus doué à Poudlard, tous les professeurs aimer Albus. Il avais obtenu les plus hautes notes à ses B.U.S.E et A.S.P.I.C. Ses essais avait été publié dans '' le mensuel de métamorphose '', il avait entretenue des relation avec des personnalités remarquable -comme Nicolas Flamel- et avais reçu de nombreuses récompense dans de nombreux domaine.
Tout le monde voulait le voir au ministère voire même - être ministre !
Mais avant tous cela, Albus voulais autre chose. Il avais conscience de son potentiel mais il voulait découvrir la magie sous toute ses forme.
Son ami Elphias Doge et lui avais prévu de faire un tour du monde ensemble, le départ était prévue à une semaine plus tôt.
Alors pourquoi Albus était allongé dans son lit àlors qu'Elphias devais être en Russie à cet heure ?
La cause de ce retournement de situation se trouver dans la chambre aménagée dans l'ancienne cave.

(je vous épargne la description de la vie familiale d' Albus. Si vous ne la connaissez pas je vous invite à lire Harry Potter 7)

Cela faisais une semaine qu'Albus était horphelin, une semaine qu'il était chef de famille, qu'il portais sur ces épaules le poids de sa fratries.
C'était cela qui lui donnais mal à la tête, cette foule de sentiment contradictoire qui s'entrechoquer dans son cerveau.
Il était triste, bien sûr, sa mère venait de mourir. Désespéré, parce qu'il est si dure d'assumer ses responsabilités.
Le pire c'est que ce qui dominait ses sentiment n'était pas la tristesse.
Non, Albus était indigné.
Indigné parce qu'il devais renoncer à tout ses projet.
C'était injuste que lui, Albus Dumbledore, le plus sur brillant des sorcier soit obligés de jouer les nounou d'un frère amoureux des chèvre et d'une sœur à demi folle.
La vie pour laquelle il avait travaillé d'arrache pied tout le long de sa scolarité, la vie dont il rêver, était en train de lui glisser entre les doigts et il ne pouvait rien faire.
Albus se sentait remplie d'une colère dificil à contrôler, il n'avait plus d'avenir, plus rien. Et cela a cause de sa famille.
"La famille avant l'ambition", disait son père.
"La famille avant la vie", pensait Albus.
Il les détesté tous, mort et vivant.
Je ne doit pas en vouloir à Abelforth et Arianna, se répéter inlassablement Albus, ce n'est pas leur faute.
Mais il n'en pensait pas un mot.
Albus prit une profonde inspiration tout en s'efforcent de faire le vide dans son esprit et de se calmer.
Il serait bien resté là, sur son lit, loin de tout les problèmes que lui imposait la vie. Mais il ce redressa, un hiboux tapais du bec contre la fenêtre de sa chambre.
Albus laissa entrée l'oiseau et lue rapidement le mot qu'il apportait. Il venait de Batilda Tourdesac, sa vieille voisine et unique personne avec qui sa famille entretenaient une relation amicale à Godric Hollows.

Cher Albus
Que dirait tu de venir prendre le thé chez moi ? Je reçois un invité que j'aimerai te présenter. Je t'attend à cinq heures et, bien entendue, Abelforth est le bienvenu.
Amicalement
B. Tourdesac

Albus leva un sourcil, elle voulait lui présenter quelqu'un ? Généralement, quand on lui disais sa, ce n'était pas bon signe. Il avait droit aux vieux sage chauves ou aux jeunes intello binoclar.
Enfin, il irait quand même, Albus ne voulait pas perdre la seule "amie" qu'il avait dans ce village paumé.
Et puis, Batilda est une historienne très connu, sa compagnie était toujours enrichissante.
Et il n'amenerait certainement pas son frère.
Ruminants ses pensées, Albus poussa un second soupir et se laissa retomber sur son lit.

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Hey ! Ce premier chapitre est un peu long et il ne se passe pas grand chose, désolé... Mais je voulais vraiment insisté sur la détresse d'Albus.
Je m'excuse pour les fautes d'orthographe et de grammaire, et peut-être que je répète un peu trop "Albus" dans le texte.
N'hesité pas à me dire ce que vous en pensez :)

( 737 mots environ)