Something Written

Les Notres: Partie Un

Les jours passèrent lentement.
Les deux garçons continué leurs recherches, leurs questions, leurs projets.
Les reliques étaient toujours le cœur de leur discutions mais, désormais, ils ne faisaient plus que parler.
Chaque jours, ils s'embrasser quand ils le voulait, cet-à-dire, souvent.
Ils découvrait doucement le bonheur de posais ses mains sur le corps de l'autre, de se caresser la nuque, ou juste de se contemplait en silence.
Cette nouvelle proximité aurait pu les distraire mais, au contraire, ils étaient plus motivés que jamais.
Désormais, leur avenir ne se résumé plus qu'à une prise de pouvoir.
C'était aussi leur avenir, à deux.

La rentrée à Poudlard approché à grands pas et, même si il faisait tout pour le cacher, Albus était de plus en plus anxieux.
En effet, quand Abelforth serait retourné en cours, Albus devra prendre le relais auprès d'Arianna. Et alors, les moments passés en compagnie de Gellert se feront de plus en plus rare.

Peut-être même que Gellert ne sera plus là.

Le regard dans les vagues, Albus avait posé son crayon et s'était arrêté d'écrire. Gellert le remarqua et le regarda, perplexe.

-... Albus ? Dit-il en passant une main devant le visage.

- Hum... Quoi ? Sursota celui-ci.

- Tout va bien ?

- Oui..., Albus hésita,... Enfin non. Mais ça n'est pas important.

Gellert leva la main et lui carressa doucement la joue.

-Bien sur que si.

Albus leva les yeux vers lui et pris une grande inspiration.

-Tu va partir. Lâcha t-il.

Gellert le fixa, l'air surpris, puis il baissa la tête.

- Je le sais, repris Albus, Tu ne peux pas attendre éternellement que je sois libre.

-Je...

-Je ne t'en veux pas, le coupa Albus, Tu n'y peux rien, il faut faire des sacrifices, pour le plus grand bien.

-Non, Albus ! S'écria Gellert, ne dit pas ça...

Albus ricana ironiquement.

-Écoute moi, repris Gellert, Tu crois que je ne me suis jamais posé la question ? Tu crois que je n'y ai jamais pensé ?

Albus le laissa parler, son amertume ayant fait place à une expression coupable face au ton de son ami.
Gellert se leva :

-À tu pensé à ce que, moi, je pouvais ressentir ? Oui, je veux changer le monde et faire entendre les idées, mais ces projet ne sont plus qu'a moi, ils sont à nous...

Gellert avait envie de dire à Albus que, sans lui, il n'était plus rien, qu'il ne servai plus à rien d'être au pouvoir sans lui.
Mais il n'en eu pas besoin, Albus avait compris au larme que Gellert essuyer rageusement sur son visage.

-On devrait se détesté, Gellert... Murmura Albus,... Parce qu'on ne peut plus envisager quoi que ce soit maintenant, parce qu'on...

-Tait-toi, Albus. On ne devrait rien du tout, on devrait juste... On devrait juste...

Albus se leva à son tour et serra son ami contre lui.
Il aurait aimé parler, trouver des mot rassurant et se persuadé que tout allait bien.
Mais il n'y arrivé pas.
Pourquoi ce mettre dans de tel état pour une simple séparation...?

-Nous ne serons jamais ennemis.

Albus ne savait pas pourquoi il disait ça maintenant, mais ça lui avait paru important.

-Bien sur que non, dit Gellert.
( nda : Haha, si ils savez...)

-Je veux dire, que je ne serai pas un obstacles pour toi. Pas au point d'étre ton ennemi.

Gellert compris qu'Albus ne voulait pas être la cause du retard de son départ. Il ne voulait que leur bien.
Soudain, une idée lui traversa l'esprit.

-Albus... Il... Il y a une solution parfaite à cela...!

Albus recula légèrement.

-... À quoi pense tu ?
         

                                    *
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Ça fait treeeees longtemps que je n'ai pas publié... Pardon.
Enfaîte, je suis entrain de faire la réécritures sur papier et je ne suis pas très satisfaite de ce que je fait.
En ce moment j'ai moins envie d'écrire et comme je suis en vacances, j'avoue que je lâche un peu....
Donc je préviens que je serai moins régulière dans les publication.
( en plus je fais des chapitre assez court 😅)
Ça chapitre sera en trois parties, et j'ai modifié plein de truc donc si c'est bizarre, je m'excuse.
Voila, voilà.
Passez de bonne vacances !!! ( même si ça fait déjà  un mois qu'on est en vacances...).

( 705 mots environ)