Chapitre 6

172 14 3
                                    

Le lendemain, Albus se leva tôt et de bonne humeur.
Il descendit dans la cuisine dans l'idée de boire une rapide tasse de thé et de rejoindre Gellert.
À la pensée de son ami, Albus senti un sourire se dessiner sur ces lèvres.
Il n'avait jamais eu de véritable amis.
Passant le plus clair de son temps à travailler, il ne voyait ni l'intérêt, ni l'utilité d'un sentiment aussi banal que l'amitié.
Il y avait bien Elphias Doge et leur petite bande mais tous le vénéré comme une sorte de phénomène et non pas comme un ami.
Gellert avait des défauts mais ses qualités prenait le dessus. Point.

Abelforth était déjà dans la cuisine entrain de déjeuner.
Il accueilli Albus avec son habituelle regard noir.
Celui ci lui demenda, plus par habitude que par réelles préoccupations,:

- Arianna va bien ?

-Oui, dit Abelforth, Parce que je suis là pour m'occuper d'elle.

Albus lui lença un regard surpris.

-Je me demande, continua Abelforth avec nonchalance, comment tu t'en occupera quand je serai à Poudlard.

Albus haussa les épaules, il voulait éviter les dispute.

-Je m'en sortirait très bien, pour l'instant tu est là, on partage le travail.

-Le travail... Pas avec lui...

-Pardon ?

-Pas avec lui, répéta Abelforth l'air dégouté, Ce... Grindelwald. Avant sa venu, tu t'occuper effectivement d'Ariana, mais bizarrement, on dirait qu'elle n'est plus une priorité !

Albus réagit au quart de tour :

-Il n'a rien à voir la dedans ! Se defendi-il, Moi aussi j'ai une vie. Je te répète que je m'occuperais d'Arianna quand tu sera reparti à Poudlard.

Abelforth le regardé ironiquement, comme si il ne croyais pas un mot de ce qui sortait de la bouche de son frère.

-Il y a une solutions très simple à cela.
Finit-il par dire.

-Non, Abel...

-Je m'appelle Abelforth. Et pourquoi non ? Sa arrangerait tout le monde, toi en premier !

Albus s'efforceai de rester calme.

-Tu retournera à Poudlard, Dit-il lentement,Et ne discute pas, si tu veut un avenir...

-Ça ne m'intéresse pas ! Je sais déjà...

-Non ! Tu ne sais rien, trancha Albus, Et tu retourne à Poudlard.

Abelforth le fixa d'un regard haineux, il semblait pres à crachait au visage de son frère.
Celui-ci se rendit compte qu'il avait les poings tellement sérré que ses phalange en étaient blanche.
Cet imbécile ce mettait en travers de son chemin brillamment tracé.
Se sentant près à devenir violent, Albus jugea préférable de partir avant de commettre un acte regrettable.
Il tourna les talons et se dirigea vers la porte.

Quand il l'ouvra, il tomba nez à nez avec Gellert qui s'appreté à toqué.

-Sortons d'ici. Ordonna Albus.

Voyant ses poings serrer et son visage rouge, Gellert le suivi sans faire d'histoire.
Albus marchait à grand pas, mettant un maximum de distance entre lui et sa maison.
Il sembla ce rappeler qu'il ne savait pas où il allait et se stoppa au milieu de la rue.
Gellert le rattrapa et posa une main réconfortante sur son épaule.
Comme la veille, ce contact calma instantanément Albus,qui jusqu'ici, s'efforçait de rester calme en respirant profondément.

-Vient, dit doucement Gellert, On va marcher, Ça va te calmer.

-Je suis déjà calmer. Rétorqua Albus, mais il lui emboita le pas.

Albus disait vrai, il était calmer.
Enfaîte, il détesté perdre le contrôle de lui même et il avait développé l'étrange capacité d'oublier en quelques secondes une émotion qui le submergé auparavant.

-Je suis désolé, finit-il par dire.

-Non... Je sais ce que s'est de perdre le contrôle de ses nerf, et puis je sert à ça... T'aider.

-Ce dont je ne me plaint pas.

-Encore heureux !

Albus eu un large sourire.

-C'était ton frère...

-Oui, soupira Albus, Il pense que je ne vais pas m'occuper d'Ariana et il veut sécher les cours...

Gellert haussa un sourcil et Albus prit conscience que ces expliquation ne justifié pas son état de colère.

-Il l'a dit d'une manière légèrement agressive et acusatrice.... Se justifia t-il.

Gellert lui souris paisiblement
Albus n'aimer pas parler de sa famille ou de lui.

-Bon, on a encore des truc à faire, non ? Il me semble qu'on avait un livre à étudié...

Gellert souris à nouveau, il avait compris qu'Albus ne souhaitais pas poursuivre.
Il retira sa main de l'épaule de son ami qui baissa la tête et marcha silencieusement.

*

_________________________

Ce chapitre est en deux partie donc voici la première.
(Je sais, j'avais promis des truc intéressant, c'est pour bientôt 😏)
J'essaie de posté vite la deuxième partie mais mon clavier bug un peu donc je fait mon possible :)

( 763 mots environ)

Something Written Où les histoires vivent. Découvrez maintenant