Chapitre 6 -seconde Parti

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(Dsl, j'avais zéro inspiration pour le titre 😅)

La journée était presque terminée, Albus avait fait tout son possible pour oublier l'épisode de ce matin et Gellert l'avait imiter.
Comme à son habitude, Gellert était au sol. Allonger, cette fois-ci, juste au pied de son lit.
Albus aussi était allonger, mais en travers du lit de son ami.
À eux deux, ils formait un parfait angle droit,avec à la pointe leur tête uniquement séparés par la hauteur du lit.
Gellert tenais au dessus de lui un livre écris par un certain Quentin Esquivdur, ayant pour titre "La simple réponse aux forces du mal".
Il parcourait rapidement les pages avec, sur le visage, une expression montrant clairement qu'il trouvait idiote les phrases qu'il lisait.
Albus souligner quelque passage d'un autre livre, il s'arrêter de temps en temps pour prendre des notes.
Toute trace de colère avait disparu de son visage,il se sentais bien.
Gellert émis un petit ricanements et Albus releva la tête :

-Qui a t-il ? Demenda t-il.

-Celui-ci est vraiment idiot, ricana Gellert, Ce Quentin Esuivdur insinue qu'il n'y a qu'une seule solution contre les forces du mal :l'amour !

-Bha, dit Albus en haussant les épaules, Ce n'est pas l'unique solution mais c'est une bonne motivation.

-Oui... On en parle beaucoup, le rapport au droit d'épouser les moldus...

-Ou juste d'éviter de détruire un homme ronger par un amour impossible. Conclua Albus.

-Ouais, repris Gellert, Écoute ce qu'il écris :
"L'amour est ce sur quoi nous battison notre royaume, notre unique motivation en ce monde...

Albus regardait Gellert, comme toujours lorsque celui-ci lisais à voix haute.
Pourtant, cette fois-ci, Gellert se sentais gêné par le regard bleu d'Albus. Il avait la vague impression d'être passé au rayon X.
Il se racla la gorge et repris:

-"Toute personne mauvaise peut ressentir de l'amour, se calmer et oublier ses mauvaises idées. Les forces du mal ne sont qu'une excuse pour cacher sa faiblesse et son amour, chaque personne qui ne connais se sentiment est voué au malheur... ( Gellert degluti bruyamment et acheva)... L'amour est essentiel à la réussite car on ne peut réussir sans bonheur et l'amour est l'unique source de bonheur. Si vous êtes heureux, vous aimez. "

Gellert laissa retomber son livre.
Albus, la tête hors du lit, le regardais de ses fichu yeux bleu.

-C' est vraie que c'est idiot, dit doucement Albus,... Mais c'est une intéressante théorie...

Gellert ne répondit pas, il en aurait été incapable.
Parce que les yeux d'Albus, planté dans les siens, l'hypnotisait.
Parce que leur visage était dangereusement près.
Une minute auparavant, il se moquait d'un article qu'il jugeait idiot, mais là, il n'avait plus envie de rire.
Comment pourrait il rire alors qu'il s'était redressé sur ces coude et que la distance qui le séparé d'Albus en était considérablement réduite ?
Alors que leur nez se frôlait et qu'ils sentait leur souffle chaud sur leur visage.
Gellert se perdait dans la contemplation du visage de son ami.
Celui qui avait une famille plus encombrante qu'une enclume, celui pour qui il ne se décider pas à partir...

Albus ferma les yeux et Gellert posa doucement ces lèvres sur les sienne.

Albus avança la tête et lui rendit son baiser avec fougue.
Il n'était pas dans une position confortable ou agréable, tendant le cous et se redressent sur les coudes.
Mais il s'en fichait parce que rien ne comptais à pars leur lèvres qui se frôlait et se rejoigné. Enfin.
Gellert se redressa sur une main et tendit l'autre pour s'agripper à la chemise d'Albus.

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