Something Written

Albus

" Vole, vole, mon amour, puisque le notre est trop lourd"
Marina kaye dans " Vole".

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Albus se tenait debout devant la tombe de sa mère.
Il contemplais le granit sombre avec un regard vide.
Il aurait aimé s'excuser mais ne trouvait pas les mots, et de toute façon, elle n'aurait rien put entendre.
Ariana était morte. C'était fini.
Cette unique pensée tourbillonnais en boucle dans sa tête, elle le rongeait de l'intérieur, le consumé de chagrin et de remort.
Une vague de culpabilité s'imergea en lui et enserra son cœur comme un étau.
Tout était de sa faute, absolument tout.
C'était lui qui avait négligé son devoir envers sa fratrie, lui encore qui avait emmener Gellert dans cette cuisine.
Gellert... Albus ne voulait même pas y penser.
Et pourtant, ses pensées se tournent vers lui comme un aiment.
La douleur dans sa poitrine s'intensifia et Albus ferma les yeux.
À présent, il comprenais à quel point il s'était trompé.
La torture de son frère, la mort de sa sœur, tout cela avait été fait pour "le plus grand bien" et Gellert n'en aurait sûrement aucun remort.
Qu'elle idioties, songea Albus. Maintenant qu'il avait été victime du plus grand bien, il n'était plus très sûr de ce que valais leur projet.
Et d'ailleurs, il n'était plus question de "leur projet ", il n'y a plus de "nous", décida Albus, C'est lui et moi, le reste n'est plus possible.
Mais alors, leur histoire, leur amour ?!! Qu'aller t'il se passer ?
Il eu honte de ses pensées. Encore une fois, il faisait preuve de son égoïsme.
Comment pouvait il encore pensé à ça alors que ça sœur venait de se faire tuer sous ses yeux ?!!
Peut-être parce que cette histoire représenté tout ce qui était positif dans sa vie, il avait aimé Gellert à la folie.
"Avait" ,était-ce du passé maintenant ?
Et de toute façon, t'avais t'il eu de l'amour...
Albus n'avait sûrement été qu'un élément de plus dans cette affaire, un bon chien qui s'occupe du mauvais boulot.
Mais alors, pourquoi Gellert était rester aussi longtemps si il n'éprouvait rien pour lui...?
Les questions s'entrechoquaient dans la tête d'Albus et il n'arrivait pas à répondre à une seule d'entre elles.

- Albus...?

Albus fit violamment volt face à la mention de son prénom.
Gellert se trouvait à l'entrée du cimetière, à quelques mètres de lui.
Albus n'aurait su dire si il était content ou désespéré de le voir ici.
Devant l'absence de réaction de son ami, Gellert se rapprocha.

- Albus, je...

Mais celui ci perdit son calme et explosa :

- Quoi ? Que vas tu dire !!? Tu es désolé, tu regrette ?! Haha ! Comment pourrais-je croire un seul mot de ce que tu dit alors que tu as torturé mon frère et tué ma sœur sous mes yeux !!?

- Tu n'en sais rien. Répondit calmement Gellert.

-Pardon ?

- Tu ne sais pas qui a tué Ariana, nous jetions des sortilèges en même temps.

- Je... Peu importe.

Gellert haussa les sourcils, visiblement peu convaincu de l'inimportance de cette information.
Albus, un peu pour changer de sujet, repris ses accusation:

- Toute notre relation est basée sur des mensonges, sinon j'aurais su à quoi m'attendre.

- Non.

Tout à coup, Gellert semblait plus humain, il avait abandonné son air fière et ses yeux verrons refléter divers sentiments complexe, mais profond.

- Non. C'est faux. Notre relation n'est basée que sur nous. Je ne t'ai jamais mentis Albus, jamais ; Il le fixais dans le blanc des yeux et, comme si il avait lu dans ses pensées, il repris :