Chapitre 3: La violence des mots

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Chaque fois qu'on se croise avec Charles, il chuchote toujours la même phrase dans mon oreille: "C'est un menteur..." Et chaque fois, j'essaye de ne pas le croire même si cela devient difficile. Jusqu'au jour où je lui attrape le bout du tee shirt, le plaque au mur.

Toute les personnes autour commence à sortir le téléphone pour filmer. Je commence à lui balancer ses 4 défauts devant tout le monde puis avant de partir Je le claque et lui dit: "Ton frère est peut être un peureux mais toi tu es juste une merde."

Depuis ce jour, nous nous détestons. Toutes les personnes présentent le jour de la claque m'ont demandé des explications. Pour répondre je leur sortais que cela n'était pas leur problème, si l'un d'entre eux insistait, je lui faisais comprendre en le fixant jusqu'à ce qu'il y ai un genre de malaise entre nous.

Au fond de nous 2, nous savons que nous nous détestons pas mais c'est difficile d'admettre quelque chose qui c'est passé avant et que notre rêve ne se réalisera jamais. Je sais que sa jalousie ne s'arrêtera pas là. 

Il y aura la violence des mots, des insultes à longueurs de journée... Je pense au début, c'est oublié vite mais avec le temps on a juste envie que la personne arrête sauf qu'on n'est impuissant par l'effet de masse.

Je rentre à la maison, puis monte dans ma chambre pour écouter ma musique. J'en ai marre de ce qu'il me dit. C'est toujours la même chose cad : "Kate, il te ment. Il est peureux et il aime quelqu'un d'autre..."


Tome 2: Ma fugue à New YorkOù les histoires vivent. Découvrez maintenant