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Trois heures, j'ai passé trois heures à le fixer sans bouger. Comme une psychopathe. Lorsqu'il est partit de la scène j'ai pu reprendre un peu mes esprits. Je suis médecin et je n'arrive pas à expliquer ce qui m'est arrivée. Mes pensées sont en vrac et réfléchir rationnellement est impossible pour l'instant.

| Suzanne- Wow c'était super! Tu as aimé ?
Atheyna- Oui...oui.
Suzanne- Ca va ?!
Atheyna- Heu oui je crois. On va dans le bar à côté ?
Suzanne- Si tu veux. |

J'aime beaucoup Suzanne pour le fait qu'elle ne me force jamais à parler. Elle a bien vu que j'étais chamboulée mais ma laisser et c'est très appréciable. Mais maintenant j'ai plus besoin de shots de vodka pour ne plus penser et ressasser ce qu'il vient de se passer. J'y penserais demain car ce soir je me bourre la gueule et m'envoie en l'air. Super cocktail pour tout zapper !

Le bar est vraiment sympa dans les tons violets avec des sortes de fumigènes qui rajoute un côté "paradis" ajoutée à ça les rayon de lumières mauves qui parcours la salle, on peut dire qu'on se sent très vite à l'aise. Il est plein à craqué, la piste de dance est inaccessible vu le nombre de personne qui y sont agglutinés et on ne voit même plus le bar étant donné le nombres de personnes qui y sont accoudés.

J'arrive malgré tout, avec l'aide de Suzanne, à nous commander des shots pour bien commencer la soirée. Je suis médecin et je connais mes limites de verres avant de faire un coma éthylique et puis j'ai vraiment mais alors vraiment besoin de décompresser. Et me voilà une heure plus tard sur la piste de dans en sueur en train de me déhancher avec sensualité bourrée comme jamais. Rien que d'y penser m'arrache un rire qu'on pourrait dire de pitié ou bien de compassion, je ne sais plus trop. J'ai perdu Suzanne mais pour l'instant j'en ai clairement rien à foutre. J'espère quand même qu'il ne lui arriveraient de grave.

Alors que je veux faire demi tour, en direction du bar, je me heurte à un torse très dur, trop dur. Je frotte mon front agacée si bien que je ne sens pas encore les mains de l'inconnue agripper mes hanches pour me coller à sa personne. Son odeur pénètre directement dans mon nez et enivre mes sens d'une douce addiction maladive. Déterminer toutes les fragrances de son parfum est impossible à cette heure pour moi étant donné mon niveau de lucidité. Malgré tout je relève la tête et appuie mon menton sur ce buste musclé. Ses doigts agrippe un peu plus ma chair alors que je cherche à stabiliser ma vue pour identifier son visage. Mission impossible étant donné la luminosité trop basse et mon niveau d'alcoolémie. J'entrouvre la bouche pour parler mais il m'en empêche en déposant ses lèvres sur les miennes. Je l'entend lâcher un petit gémissement de satisfaction. Il ressert ma taille contre lui et appuie encore plus son baiser passionné. Son corps penché sur le mien alors que nos bouches se mangent dans un baiser chargé de désirs. Mon corps brûle au contacte du sien. L'intérieur de ma cuisse remontre sur sa hanche pour coller encore plus nos entre jambes ensembles. La dureté que je ressent alors sur ma partie intime me pousse à lâcher un gémissement d'excitation ce qui pousse mon inconnu à attraper mon autre cuisse pour me porter face à lui, collée contre son torse brûlant. Nos bouches se détachent alors qu'il nous sort du bar. La fraîcheur de la nuit me force à me coller encore un peu plus à lui tandis que ma bouche dépose et mordille la douce peau de son cou. Ses grandes mains pressent encore plus la peau pour exprimer son impatiente quant à la suite qui nous attend. Nous déambulons rapidement dans la rue, moi portée par ses gros bras tout en gémissant et lui avançant le plus rapidement possible tout en collant mon bassin à sa trique pour, je pense, la soulager ce qui est à vrai dire inutile puisque ça renforce son envie et en plus il ne peut pas l'assouvir dans l'immédiat. Le pauvre, sourire coquin et diabolique de femme qui aime faire de l'effet à vrai dire cette pression m'excite tout autant et me rend encore plus tellement impatiente.
Après plusieurs bifurcations, mon inconnu monte le plus rapidement possible des marches pour finir par ouvrir difficilement sa porte d'entrée pour foncer dans son habitacle.
Il claque la porte de sa chambre et m'allonge doucement sur son lit, lui toujours au dessus de moi. Tout son poids repose sur moi ce qui fait encore plus augmenter mon désir qui devient de plus en plus insupportable tant j'ai envie de l'assouvir. Je ne vois toujours pas le visage de ce, si excitant, inconnu pour la simple et bonne raison que nous sommes dans le noir et que seul la lumière de la lune, à travers la fenêtre, nous permet de nous orienter.

Ses baisers mouillés descendent langoureusement vers ma poitrine emprisonnée de ce corset. Heureusement il ne met pas longtemps à retirer mon haut et en même temps libérer ma pointure devenue douloureuse sous le désir. Sa bouche s'abat sauvagement sur mes tétons pointés à l'extrême. Mon dos se cambre sous la satisfaction de sa langue tournoyante me provoquant des gémissements encore plus fort. Ses mains descendent vers le bouton de mon jean qui ne fait pas long feu et qui se retrouve aussi vite par terre. Sa main se presse sur mon clitoris, ultrasensible et gonflé, et aussi tôt il m'embrasse à pleine bouche étouffant mon petit cri jouissif. Voulant lui faire plaisir également, je commence doucement à enlever moi même son pantalon qui ne tarde pas à rejoindre le mien à terre. Ma main suit sa longueur dans des mouvements de vas et viens à travers le tissu de son sous vêtements alors que je lui mord la lèvre pour le distraire du retournement que je vais faire. Dans la seconde je me retrouve à califourchon sur lui fixant ses yeux vitreux rempli d'idées folles à réaliser plus tard. Je commence par lécher son téton droit, autant dur que les miens, pour continuer mes passages de langue jusqu'a son caleçon bien tendu. Je le baisse doucement tout en le regardant dans les yeux avec mon petit air insolent et coquin. J'entame des vas et viens lents, très lents, puis de plus en plus rapide. Alors que je sens qu'il vient je ralentit profitant de mon pouvoir pour le malmener. Toujours le regard fixe, je le prend en bouche ce qui lui arrache des grognements roques, super sexy je dois l'avouer. Alors que j'entamais encore une fois une descente, une main m'agrippe à la gorge sans pour autant serrer puis me remonte jusqu'à son visage. On se regardent quelques instants en tout cas suffisamment pour que je me retrouve en dessous de lui et lui la tête entre mes cuisses à me regarde de ses yeux lubriques. Alors que ses premiers coups de langue commencent mes gémissements s'intensifient pour devenir plus fort, plus profond comme si ils venaient du fin fond de mon âme. Mon inconnu, j'imagine pour se venger, arrête brusquement sa douce torture pour déchirer l'emballage d'un préservatif et par la suite l'appliquer sur son membre tout gonflé comme si il allait exploser tellement la tension est puissante. Ses yeux, percés d'un reflet de lumière bleu, me renvoient toute l'envie qu'il ressent pour moi. Toujours les yeux dans les yeux comme si nous nous parlions par télépathie, il rentre en moi. J'entrouvre ma bouche et remonte mon menton sous la sensation d'accomplissement toujours sans un bruit, subjuguée. Rentré à moitié, il enfonce le reste comme si il ne pouvait plus se retenir. Sa bouche s'abat sur la mienne alors qui touche le fond de mon vagin me replissant de toute sa longueur et grosseur. Je papillonne des yeux tant les émotions sont fortes et s'écoulent dans mes veines pour tendre tout mes muscles. Mes nerfs frémissent sous ma peau laissant en apparence des tremblements. Mon cœur cogne bien trop vite dans mon petit corps, il pompe mon sang aussi vite que possible puis le pulsant dans mes membres pour les rendre encore plus brûlant qu'ils ne l'étaient là seconde d'avant. Toujours les yeux dans les yeux, il ressort et retenter brutalement touchant à chaque fois mon fond pour me faire pousser des cris plus puissants les uns que les autres. Il entame un rythme plus rapide et encore plus brutale qui a sur moi l'effet de me couper la respiration. Mes yeux révulsent sous l'intensité, le rythme de ses pénétrations dépassent rapidement mon rhythms cardiaque anormal. Le doux son de ses gémissements roques ainsi que ses grognements animals me poussent encore plus près des portes des paradis. Pour au final les ouvrir d'un coup dans un long gémissement puissant qui déclenche des tremblements incontrôlables dans tout mon corps. Ses grognements sont plus sauvages et grave tandis que je sens les muscles de sa longueur pulser dans mon intimé signe qu'il se décharge de sa précieuse semence blanche. Épuisée je souffle plusieurs fois pour reprendre mon rythme pulmonaire et cardiaque alors que mes contractions musculaires se calment doucement. Son corps s'étend à côté du mien pour lui aussi essayer de reprendre un rythme normal. Je tourne ma tête de son côté tandis que lui en fait de même. Les yeux dans les yeux, si je le connaissait je pourrais dire qu'il me regardait avec amour, je lui sourit avec cette étincelle dans les yeux.

| Atheyna- Un autre round ? |
Sourires et rires...

Salut, je me suis rendu compte que je faisais beaucoup de fautes, si je ne relis pas bien, la plus part par inadvertance étant donné que j'essaye d'écrire aussi vite que je pense les mots alors si vous voyez des fautes surtout signalez les moi !

ATHEYNAOù les histoires vivent. Découvrez maintenant