Forcer D'aimer ( SasuSaku )

Chapitre 04

Quoi ? notre mariage !?

_Quoi... dit je stupéfaite. Attendez espece de pervers megalo ! Comment ça notre mariage !?

J'en étais venu à un stade où rien que cette information a suffit à me faire distraire de ce pourquoi je pleurais, me laissant perdu au beau milieu d'une simple phrase qui me laissa sans vergogne. Mais en même temps... qu'est ce que c'était que cette histoire ?

_Tu m'as bien entendu. Notre mariage. Dit-il le plus calmement du monde.

Je me retourne vers Sasori, ne sachant même pas quoi ressentir entre la colère, la frustration, la tritesse ou du degout. Mon visage exprimait alors une expression de vide total tout en laissant couler des larmes sur mon visage.

_Sasori...alors tu étais aussi au courant,...pour cette histoire de mariage !?

Sasori ne repondit rien et tourna la tête vers le côté, serrant au maximum ses points. Je le regardais toujours avec cette même expression, les larmes innondant mes joues. Je me sentais frustrée et trahit par cette personne qui était ma seul famille. Un silence de mort s'instala entre nous, un silence de cimetiére, ce dernier fut brisé lorsque je sentis ce "cher Sasuke" se coller d'un peu trop près à mon postérieur. Je me retourna alors brusquement à la fois surprise et offencer alors que Sasuke, lui se collait toujours de trop près même après que je me sois retourner. Il voulu ainsi recoler ses lèvres sur les miennes, lorsque Sasori dit d'un regard inquiet:

_Attention Mr. Sasuke, ne la brusquer pas trop...

Alors ça c'etait la meilleur me suis-je dis. J'hesitais entre éclater de rire ou me mettre en rage du fait que monsieur se soucit encore de moi ! Mais je redenscendis bien vite sur terre lorsque l'Uchiwa me prit de ses deux mains par les hanches, me collant encore plus à lui et dit le sourire au coin:

_Je ne pense pas que tu ais ton mot à dire Sasori. Elle m'appartient desormais, j'ai même ton accord pour lui sauter dessus là tout de suite maintenant si je le voulai. N'est ce pas.

Apres ces mots, il mit sa tête dans le creux de mon coup, mordillant mon oreille et jouant avec mon lobe. Je ne pus m'empêcher de rougir et d'ettoufer un petit gemissement à peine perseptible, car je pouvais sentir d'ici son souffle si chaux et si viril. Je pense que je me saurais laisser faire si il ne s'etait pas soudainement detacher de moi pour dire à Sasori:

_Tu peux partir maintenant, j'augmenterais bien ton salaire comme prévus.

À cette phrase, Sasori ne put répondre qu'un bref "Bien" puis se retourna, me laissant seul à la merci de ce fou pervers. Je n'ausait pas pas croire que Sasori m'abandonnait à present au main de cette homme, surtout apres tous ce qu'on a traverser ensemble. La portr du hall d'entrée se referma alors en grand fracas sur Sasori dos à moi.

Je ne pus m'empêcher de pleurer, de verser toutes les larmes de mon corps sur mes joues. Mais autre chose me fit distraire à la minute, je sentis une main caresser de le dessous de mon T-shirt et l'autre caresser ma joue. Je sus immediatement que c'etait lui, je me debatais de toutes mes forces, puis il me lacha avec un regard noir et sinistre tout en restant envoutant. Je m'attendais au pire venant de lui, et brusquement, un bruit resonna dans le hall. Oui, ce fou m'avait encore giflé et avec plus de puissance cette fois ci. J'etais apeurée, frustrée, inquiete pour moi même ne sachant même pas quoi repondre, lorsqu'il s'avança vers moi et me chuchota à l'oreille avec une mine furieuse:

_Tu ferais mieux de te laisser faire et de cesser dès à present cette insolence dèsà présent. Dit il sous un ton plus que menaçant. Je suis loin d'être une personne qui supporte le manque de respect...

À cette phrase mon rata un battement. Je pouvais sentir d'ici son regard pénétrant qui me regardait. Je ne savais jusqu'ou cet homme pouvait-il aller. Il se mit ensuite dos à moi et me dis en partant: