Silk Ribbon [Yoonmin]

2 (M)

Il y a quelqu'un dans ce lycée qui sache jouer du piano aussi divinement bien ?

L'envie de rentrer chez moi et forte mais ma curiosité de découvrir qui se cache sous cette musique et insupportable, alors je me laisse porter par la mélodie, mes jambes suivent mes oreilles et me font monter les escaliers pour arriver au premier étage.

Quelques pas après, me voilà debout devant la porte de la salle de musique, logique, il n'y qu'ici que ce trouve un piano dans l'établissement.

M'apprêtant à ouvrir la porte, la main sur le poignée , mon cœur commence à battre de plus en plus vite, pour une raison inconnu je stresse d'anticipation, pourquoi suis-je dans cette état là ?

Sans patienter une minutes de plus, j'ouvre enfin cette porte pour y découvrir, une salle vide, présentant en son centre un piano noir.

La musique c'était subitement arrêter au moment ou je suis entrer. Je ne suis quand même pas fou, je suis sur d'avoir entendu une musique ! Les coups mon fit perdre la tête ?

Je m'approche du piano et le caresse du bout des doigts, j'en fait le tour en l'admirant.

C'est d'une beauté un piano...

J'en viens même à toucher la petite banquette noir assortie au piano.

Hé ! Mais son cuire est chaud, j'avais pas réveillé ! Il y avait vraiment quel/-

Aye, sa fait tellement mal...

Mais pourquoi je ne vois plus rien !

- Tu m'appartient corps et âme maintenant .

Présent

Un frisson me traverse à l'entente de ces mots.

Qu'insinue-t-il en disant ça? Pourquoi me fait-il prisonnier ? Qu'y est ce ?

Jeon Jungkook ?

Non ça ne peut pas être lui, sa voix n'est pas aussi grave et il est plus grand que moi, celui qui est compressé à mon dos doit me dépasser que légèrement, je sens son souffle à oreille.

Mais que veut-il, bon sang !

J'essaye de me débattre du mieux que je peux en lui infligeant des coups de pieds à ses genoux, mes mains prisonnières d'une des siennes sont immobiles impossible de reprendre le contrôle, ils me serre beaucoup trop fort.

Pourquoi est-t-il si fort?

Je le sens me serrer la taille et les mains pour mieux me mobiliser et quelques minutes plus tard, je finis par me calmer épuisé et résigné. Voyant que je ne bougeais plus, il desserra sa prise sur mes mains et avança sa main droite, précédemment sur ma taille vers ma tête pour la déposer sur son épaule.

Je me laisse faire, de toute marnière je suis trop fatigué pour riposter.

Il commence alors à ce balancer d'un pieds à l'autre suivant un rythme lent et apaisant, m'entraînant avec lui de gauche à droite. Je ne connais pas cette personne, je ne sais pas ce qu'il pourrait me faire mais étrangement je me sens apaisé dans ses bras.

Il me berce doucement, comme si il voulait me calmer, sa poigne ne me fait plus mal et j'ai même l'impression qu'il évite de toucher les parties de mon corps qui ont été maltraités un peu plus tôt dans l'après-midi.

Je me sens bien.

 tel point que le sommeil pourrait m'emporter d'une minute à l'autre.

- Tu as passé une autre dure