Nina se sentait mal alaise par tout ce qui l'entoura. Elle n'arrivait pas à se remettre de sa vision de la vieille. Arrêté ses promenades et une paranoïa qui s'installait. Son quotidien ne ressemblait plus du tout à sa vie d'avant. L'impression que cette chose ou cet homme en costume soit derrière elle.
De plus, les disparitions d'enfants se faisaient de plus en plus fréquente. Et cette fois le chef de la police, Monsieur Milard, commença à organiser des tours de garde dans la forêt. Tous les parents de la ville devenaient paranoïaques à l'idée que leurs enfants leur parlent d'un ami imaginaire.
Et si ça ne suffisait pas. Les habitants ne faisaient plus attention à Nina. Comme s'ils croyaient qu'elles étaient fautives dans cette histoire. La jeune femme ne savait plus comment réagir à ça. Le simple trajet de son appartement jusqu'au refuge devenait plus compliqué chaque jour. Le regard des gens se faisait à la fois craintif et à la fois agressant. Nina, à ce moment-là, pressait le pat pour aller à son travail. Et une fois arrivé elle restait derrière son bureau toute la journée, à par quand il fallait nourrir les animaux. Les semaines devenaient longues et ennuyeuses.
Le chef Milard en revanche ne semblait pas accuser Nina. Il savait que Nina était innocente. Elle et lui, continué de s'échangeaient des bonjours. Et juste après la police était appelé pour une nouvelle disparition. Le chef Milard a conclu que Nina ne pouvait pas être cette chose qui enlevait ces enfants. Il essaya d'en parlait à ses collègues et autre habitant, mais ils étaient tous devenus bornés et sela ne s'expliquait pas. Donc il commença à devenir dubitatif de Nina. Mais de l'autre côté elle ne pouvait pas parler de ce qu'elle avait vue au chef. Plutôt, elle était tellement angoissée pas ce qu'elle avait vue et par son expérience dans cette forêt que même le sujet la rendait paniqué. À cause de ça à chaque fois qu'une personne l'interrogea sur cette histoire. Aucune réponse ne se faisait entendre et donc elle n'en devenait pas moins innocente aux yeux de la personne.
Alors elle se taisait et évitait à tous pris d'en parlait. Même si l'image de cette chose en costume qui la regardait la hantait de plus en plus. À la fois intriguer par ce personnage et angoisser qu'il la retrouve. Depuis cette soirée, Nina avait capitonné sa fenêtre et le jour elle évitais de regarder la forêt. En marchant la tête baissait elle devenait de jour en jour de plus en plus suspecte. Innocente ? Même Nina avait des doutes sur elle. Une dépression commença à s'installer dans sa vie. Avec son travail, elle ne pouvait plus continuer de faire semblant de se sentir bien devant les clients. Plus personnes ne venait. De jour en jour, le rythme de l'horloge était le seul bruit de la pièce.
Et là, la porte s'ouvrit. Nina, à ce moment-là dans son bureau, entendit des pas ce dirigeant vers les animaux. « Un client ? » Elle se demanda si c'était réel. Ça faisait longtemps qu'elle n'avait pas eu de nouvelle discussion avec quelqu'un. Avec ce qu'il se passe il semblait loin, le temps où elle papoté avec tout le monde. Un stresse arriva dans sa tête et ne savait pas comment gérer ça.
« Excusez-moi mademoiselle vous êtes là ? »
Comment il savait que c'était une femme qui tenait le refuge. Il n'y avait pas de moyen pour qu'il puisse le voir depuis l'accueil. Nina décida d'y aller. Bizarrement, ce mystère la piquait au vif et lui faisait oublier un moment ce qu'elle vivait.
«
Le client : Bonjour je pourrais avoir des informations sur les animaux s'il vous plaît. Si ça ne vous dérange pas bien sûr ?Nina : Bien sûr que non j'arrive tout de suite monsieur. »
Elle commença à avancer vers la porte qui menait vers l'accueil. Et Nina, vie un homme en costume, assez grand et assez fin. Il était élégant et abordé un léger sourire.
«
Le client : Ravi de vous rencontrer (Dit-il en avançant sa main pour saluer Nina)Nina : Moi de même (Répondit elle en étant mal alaise que du jour au lendemain quelqu'un devienne aussi polie avec elle)
Le client : Ne soyez pas gêné voyons je ne mords pas vous savez. »
L'homme semblait avoir deviné que Nina n'était pas alaise avec lui. Elle décida alors de la questionner à ce sujet sens vraiment savoir pourquoi.
«
Nina : Excusez-moi mais comment vous savez que j'étais mal alaise ?Le client : Ca se voie (Dit-il en élargissant son sourire). Disons que j'ai un certain talent pour reconnaître la véritable identité des gens. Ça devenait un handicap avec le temps, mais j'ai commencé à l'utiliser dans le bon sens. Et là, je suis passé d'un garçon timide et apeuré a un homme qui ne fait que des choses qui le rend heureux. Excusez-moi, je parle beaucoup trop parfois, je devrais me taire.
(Nina à son tour abordé un sourire sur son visage)
Nina : Ne vous excusez pas voyons je dois dire que parler me fait du bien avec ce qu'il se passe cela me fait sentir.
Le client : Libre ? »
Nina à la fois gênée de trop parler et à la fois surprise que cet homme est deviné ce qu'elle allait dire. Qu'elle n'arriva pas à parler sur moment. L'homme alors lui demanda :
«
Le client : C'était ce que vous alliez dire n'est-ce pas ?Nina : Oui oui mais comment ? (Demanda-t-elle avec une adrénaline naissante)
Le client : Je vous les dis, j'arrive de temps en temps à distinguer ce que les gens sont en réalité et parfois à voir leurs pensées. Désoler, je dois vous faire peur peut-être ?
Nina : Non absolument pas. Juste je suis simplement surprise de rencontrer quelqu'un comme vous.
Le client : Je vous rassure, il y a des tonnes d'homme comme moi. (Dit-il avec à son tour une légère gêne sur son visage) »
Ce moment était incroyable pour Nina. Une personne qui ne la regarde pas en donnant l'impression de lui vouloir du mal. Normalement, c'est elle qui est gêner par les gens cette fois c'était un homme qui lui souriait et qui était gêné. Elle se demandait même si ce n'était pas une mauvaise blague de sa part.
« Je sais que ça pourrait paraître comme une blague de ma part, mais je suis sincère avec vous. Pas comme ces autres personnes que j'ai rencontrées aujourd'hui. »
Nina était bouche baie. Comment cet homme pouvait savoir ce qu'elle ressentait ? Elle qui se disait incapable de montrer ses émotions avec sa situation. Elle découvre ce personnage qui semblait tous connaître d'elle.
Son sourire s'élargissait à son tour. Le seul sentiment que la jeune femme ressentait était le même que dans cette mystérieuse forêt.
Fin du deuxième chapitre
NDA : Merci pour votre lecture et n'hésitez pas à me donner vos avis j'en prendrais compte pour le prochain chapitre
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Le fils du Slenderman
HorrorUn garçon découvre qu'il est l'héritier des pouvoirs du sombre Slenderman. Il va découvrir la différence entre le monde réel et le monde de l'effroi.