Recueil de l'imaginaire !

Stiles : Retour de flamme

Pour Lisa_Danio

Consigne donnée : un beau moment qui tourne mal mais qui finit bien. (Soeur dIsaac)

Jamais. Jamais je n'aurai cru que ce serait possible... Une soirée tranquille à Beacon Hills ! C'est incroyable ! A vrai dire, maintenant que tout danger est écarté, ça me paraît normal, mais honnêtement, comment réagir face à l'inactivité quand on es habitué au danger de mort et aux monstres quasi invincibles ?

-T'arrives pas à lâcher prise ? Fait mon frère en entrant dans ma chambre. Je secoue la tête. Il est super protecteur avec moi. Depuis toujours. Mais sa manie de rentrer dans ma chambre dans frapper effacema sympathie envers son côté adorable.

-Isaac... appuyé je sur les "a" de son prénom. Il gromele, sort, frappe et je l'autorise à entrer.

-Tu déprime parce qu'on a plus de gros méchant a repousser de notre petite ville ? Ironise mon frère. Je roule des yeux. Il est 21h, demain je n'ai pas cours et j'en ai aucune envie. J'aime l'action. Les week-ends, rien à faire. Je me mordille la langue.

-Je crois que je vais dormir pour tuer le temps. Fermé je les yeux, épuisée par l'ennui. Isaac se moque de ma léthargie et se met à genou devant moi. Il prend mes mains, me tire vers lui etme sert dans ses bras. Je souris avec bonheur.

Certaines relations fraternelles sont conflictuelles. Pas la notre ! Nous sommes un. On s'entend super bien, même si on aime se chamailler... C'est mon grand frère, mon pillier. Je l'aime. Je l'aime tant.

Isaac se dégage de moi, reculant pour me souhaiter bonne nuit. Je l'embrasse sur la joue et cligne d'un oeil après avoir refermé la porte une fois qu'il est parti.

Seule, je m'allonge sur le dos et m'endors dans l'immédiat, épuisée par l'ennui.

Dring...

Je saute sur mon téléphone et répond,avant même de regarder qui m'appelle.

-Je dors ! Regardez l'heure ! Grogne je avant de poser mon téléphone a plat sur le matelas.

-Mais, il n'est que 9h ! D'habitude, on ne dort même pas de toute la nuit ! Fait la voix de Stiles. Belle voix que je ne peux confondre. Douce voix que je reconnais et peut entendre entre mille et à l'autre bout du monde. Mon Stiles... Je sursaute en comprenant que c'est lui que j'ai à portée de ma main et viens coller le téléphone a mon oreille, un sourire venant barrer mon visage.

-Stiles ? Ma voix tremble dans l'appareil.

J'ai rencontré Stiles il y a 3 ans au collège. Il était à la cantine, il y avait des fritted et le brun n'avait de cesse de se lever pour en prendre en rab. Au bout de la 5e fois, j'ai arrêté de complexé en me disant qu'une part était suffisante, et j'ai décidé d'en reprendre à mon tour. On s'est croisé. J'ai beugué une fois en face de lui. Il a sourit, m'a laissé me servir la dernière portion (pensant que mon immobilité relevait de mon hésitation a me servir) et comme il a vu que je mangeait seule, et que j'ai vu que me laisser les dernières frittes le peinait un peu, naturellement, on s'est assis ensemble et on a mangé dans la même assiette. Et depuis, on est resté collé l'un à l'autre. Au début, il n'y avait aucun sentiment entre nous. Juste une très belle amitié. C'est à la fin de l'année, au bal, que dans ses bras j'ai compris que je l'aimais. D'un amour sincère et pur. J'étais et je suis profondément amoureuse de ce garçon...

-Ben oui, c'est toujours moi qui t'appelle... Toi jamais ! M'attaque t'il sur le fait que je n'use jamais mon téléphone. Je roule des yeux.

-Je suis contente de t'entendre. Avoué je. C'est drôle, mais j'ai l'impression qu'il sourit... Ça fait battre mon cœur.